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11 Tout cela, à la fin des fins, nous servira à lasser les goyim à ce point que nous les obligerons à nous offrir le pouvoir international, pouvoir qui, par ses tendances et sa préparation, est susceptible d’englober sans heurts toutes les forces gouvernementales du monde et de former un Super gouvernement.

Alors, à la place des souverains régnants, nous mettrons un monstre que tous considéreront comme l’Administration super gouvernementale : ses mains s’étendront dans toutes les directions, comme des tenailles, et son organisation sera si colossale qu’elle ne pourra manquer de dominer les peuples.


Onzième séance


01 Le plan du gouvernement doit résider dans un seul cerveau ; si l’on admettait son fractionnement dans divers esprits, on ne parviendrait pas à le consolider. Seul le souverain doit le connaître, ses administrateurs doivent, sans les discuter, exécuter les parties qui leur en sont communiquées quand il est besoin, ceci afin de ne pas le détruire ou de ne pas nuire à sa conception géniale et à l’harmonie de son ensemble, surtout, enfin, à la force pratique de l’importance secrète de chacun de ses points. Si une telle œuvre devait être discutée ou transformée par des opinions multiples en étant soumise au vote de voix nombreuses, elle porterait l’empreinte de toutes les conceptions erronées qui n’auraient pas pénétré toute la profondeur et l’harmonie de ses desseins. Il faut que nos plans soient