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les pays qui savent bien que nous avons le pouvoir de créer chez eux des soulèvements ou de restaurer l’ordre à notre gré. Ils sont accoutumés à voir en nous la force indispensable qui écrase. Nos intrigues dans la politique mondiale ont embrouillé tous les fils qui relient entre eux les ministères des différents États et cela au moyen de traités économiques et d’engagements financiers. Pour atteindre ce but, il nous a fallu faire preuve d’une grande ruse et de beaucoup d’obséquiosité au cours des pourparlers et des négociations ; mais dans ce qu’on nomme « la langue officielle » nous fûmes obligés de prendre un air conciliant et honnête. Aussi les goyim — que nous avons habitués à n’apercevoir que le côté apparent des choses que nous leur présentons — nous prennent-ils pour des bienfaiteurs et des sauveurs du genre humain.

03 Nous sommes prêts à répondre du tac au tac à toute opposition qui surgirait contre nous dans un pays quelconque en faisant éclater une guerre entre lui et ses voisins, et si plusieurs pays projetaient de s’allier contre nous, nous déchaînerions une guerre mondiale et nous les pousserions imperceptiblement à y prendre part

04 Le succès capital en politique est assuré par le secret des entreprises. Les actes d’un diplomate ne doivent pas correspondre à ses paroles.

05 Nous avons déjà maintes fois contraint les gouvernements des goyim à faire la guerre au moyen de la soi--