Page:Bouthillier-Chavigny - Justice aux Canadiens-Français, 1890.djvu/113

Cette page a été validée par deux contributeurs.


XIII


Vous êtes, mon cher de Coubertin, un sincère partisan des institutions anglaises.

Je partage votre admiration en autant qu’elle ne se traduit pas au détriment des Canadiens-Français.

Comment n’avez-vous pas consacré un chapitre spécial à l’étude de notre constitution, au lieu d’affirmer que « ce que l’on ignore assez généralement, c’est qu’une province canadienne ressemble absolument à un état de l’union » ?

En observant plus attentivement l’ensemble de nos lois constitutionnelles, vous eussiez,