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la terreur en macédoine

Le peloton d’exécution, Marko, la foule, tous, grands et petits, jeunes et vieux demeurent interdits, sans voix, presque sans souffle.

Alors un frisson terrible secoue de la tête aux pieds Joannès et ses compagnons, pendant qu’un nom vient mourir sur ses lèvres :

« Nikéa !… oh !… Nikéa ! »