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chaîne. Cependant, comprenant les ravages qu’il avait faits dans ce pauvre cœur si franc, il avait, au moins, la pudeur de lui laisser croire à une affection réelle.

Louise avait le respect de sa mère et, pour rien au monde, elle n’aurait voulu lui faire la triste confidence que j’avais reçue. Ce n’était pas un des côtés les moins douloureux de cette singulière existence, car je ne crois pas avoir jamais rencontré un cœur de mère plus follement aveugle que celui de la comtesse de F… sa mère.

Cependant dom Pedro, persévé-