Page:Bourget - Pauvre petite !, 1887.djvu/39

Cette page a été validée par deux contributeurs.

gées pour la plupart des pierreries les plus précieuses, les rires, la musique, tout cet ensemble entraînant forçait, en quelque sorte, la nature la plus calme à quelque agitation… Matt voulait me mener dans la serre sur laquelle donnait cette salle ; il était impossible de songer alors à la traverser, mais on pouvait facilement la tourner en passant par un délicieux boudoir rempli d’objets d’une grande valeur.

Rien ne peut dire le calme mystérieux de ce vaste jardin de cristal. Des plantes exotiques répandues à