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cours de ses entretiens avec Laurence, qu’elle tressaillait toujours un peu, quand elle entendait parler anglais. – Elle revoyait lady Agnès. – Cette fois, elle parut insensible aux réminiscences qu’il avait cru adroit d’évoquer. Froidement, avec un air de dignité qui révélait un parti pris de le tenir à distance, elle répondit :

– « Je vous remercie, monsieur Libertat, mais tout est arrangé, maintenant. M. Pascal Couture garde le petit. Je n’en suis pas moins très sensible à votre offre. Je ne vous fais pas l’affront de vous rappeler votre parole, à propos de lui et de son malheur. Je compte sur votre absolue discrétion. »

Tandis qu’elle parlait, une nervosité gagnait le jeune homme. Il esquissa, malgré lui, un geste d’impatience, dont le contre-coup sur les barres trop tendres de sa bête la fit danser et se défendre.

– « Voyons, voyons, Cyrano… » dit-il en raccourcissant ses rênes et retenant