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CHAPITRE III
La Question d’Orient de 1831 à 1833. — Méhémet-Ali et Mahmoud II.
Réformes et embarras du sultan Mahmoud II, p. 92. — L’œuvre de Méhémet-Ali, ses conquêtes africaines, p. 93. — Concours qu’il a donné à Mahmoud contre les Grecs, non paye par l’octroi de la Crète, p. 93 et 94. — Méhémet-Ali exige et envahit la Syrie, p. 94. — Victoires d’Ibrahim, à saint-Jean d’Acre, Beilan, Konieh, p. 96. — Le conflit devient une affaire européenne, p. 96, par l’enthousiasme des Français pour Méhémet-Ali, p. 97, et par la volonté de Nicolas Ier de s’opposer à leurs desseins sur l’Empire turc, p. 98. — Metternich appuie les projets de la Russie pour s’emparer de l’Allemagne, p. 99, que depuis 1832 il s’efforce de soumettre à la politique autrichienne, p. 100. — En France, de Broglie, égaré par la tradition, néglige le conflit turco-égyptien pour éloigner les Russes de Constantinople, p. 101. — Mission de l’amiral Roussin, p. 102. — Il écarte les Russes, qu’aussitôt le sultan, pour ne pas céder aux exigences de Méhémet-Ali, rappelle, p. 103. — De Broglie fait appel à l’Angleterre, p. 103. — Palmerston, jaloux de l’influence française en Egypte plus que des Russes, s’éloigne de la France et négocie avec Metternich la paix entre le sultan et le vice-roi, p. 104 et 105. — Isolement de la France et déception de l’Angleterre à la nouvelle d’Unkiar-Skélessi, p. 106. — Origines, clauses et portée de ce traité, p. 107. — L’Autriche alliée du czar : conventions de Munchengrætz, p. 108 et 109. — Importance de cette entente pour l’Orient et les progrès de l’Autriche en Allemagne (décrets de Vienne), p. 110, et en Italie, p. 111. — Protestations du cabinet français de Broglie, p. 112. — Dernier effort de Talleyrand pour renouer l’alliance franco-anglaise, p. 113. — Refus de Palmerston, p. 113. — Bibliographie, p. 114.
CHAPITRE IV
Les révolutions d’Espagne et de Portugal.
Louis-Philippe, Palmerston et Metternich (1833-1839).
Les guerres civile et de famille en Portugal, p. 115. – Don Pedro et don Miguel, p. 116. – Politique anglaise en Portugal, p. 117 ; et en Espagne, pour obliger Ferdinand VII et la régente à secourir don Pedro, p. 118. — Intrigues de l’Angleterre contre Zea Bermudez, soutenu par la France, p. 119. — Défaites importantes et résistance de don Miguel, p. 120. — La mort de Ferdinand VII et la chute de Zea Bermudez, que la France ne soutient plus, déchaîne le carlisme en Espagne. p. 121. — La diplomatie ibérique de Palmerston : la quadruple alliance de 1834, p. 122 et 123. — La France écartée. Talleyrand joué par l’Angleterre, p. 123 et 124. — Le retour de Talleyrand ; la fin de l’entente franco-anglaise, p. 124 et 125. — L’Angleterre après la réforme de 1832 : desseins et embarras des whigs au pouvoir : leur nouvelle politique, dirigée par Palmerston nationalisme anglais, p. 125 à 129.