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CHAPITRE II
L’Europe en 1831.
LES NATIONS. — L’Angleterre : La réforme libérale de 1832 : ses origines et sa portée économique et sociale, p. 43 à 45. — Les whigs et les intérêts de l’Angleterre commerciale et industrielle, p. 45 et 46. — L’Angleterre et la France libérales en 1831 : leurs différences, leurs jalousies et leur rapprochement par les affaires d’Orient, p. 47 et 48.
La Grèce : Le traité d’Andrinople, le rôle de l’Europe et de la Grèce elle-même dans son émancipation, p. 48 et 49. — L’anarchie grecque de 1829 à 1832 : ses causes locales et européennes, p. 50 et 51. — La Conférence de Londres et le règne d’Othon Ier p. 52.
La Belgique : L’émeute du 25 août et l’opposition légale contre les Nassau, p. 53. — Histoire de cette opposition nationale et catholique, distincte depuis 1789 de l’influence française, parfois en contradiction, p. 53. — L’union de 1829 entre catholiques et libéraux, p. 54. — La révolution du 24 septembre 1830, sa portée européenne, p. 55. — La non-intervention française et la Belgique indépendante, p. 55 et 56.
La Pologne : La nation et ses libertés sous le règne d’Alexandre Ier, p. 56. — La réaction de la conquête sous Nicolas Ier, antérieure à la Révolution de 1830 p. 57. — L’armée polonaise et les causes de l’insurrection de Varsovie, p. 58. — Efforts de l’aristocratie et des patriotes pour désarmer l’émeute et le czar : le duel national de la Russie et de la Pologne (janvier 1831), p. 58 et 59. — La Pologne vaincue : les sympathies de la France, le maintien du démembrement, p. 60 et 61.
La Suisse : La Suisse après 1815 et la période de la régénération, p. 62 et 63. — La démocratie rurale et la centralisation : évolution et non révolution, p. 64.
La Norvège et la Suède : Evolution démocratique dans l’une, parlementaire dans l’autre (1829-1838), p. 64.
La Jeune Allemagne : Ses écrivains, ses aspirations, leur faiblesse et leur échec, p. 65. — Les troubles de Brunswick et de Saxe (juin-octobre 1830), p. 65 et 66. — La politique contre-révolutionnaire et centraliste de Metternich : les décrets de la Diète (1832-1833), p. 66 et 67.
L’Italie : Les projets de l’Autriche réserve et surveillance de la France, p. 68. — L’insurrection de Modène (février 1831), la mort de Pie VII : les Bonaparte, Louis-Philippe et les Français, p. 68 et 69. — L’exécution autrichienne, Grégoire XVI et la France, p. 69 et 70.
L’Espagne : Les intrigues anglaises, les révoltes de 1828 à 1830 contre Ferdinand VII et ses ministres ultras, p. 70. — La naissance d’Isabelle II et le retour du roi et de la reine au libéralisme : la loi salique et don Carlos ; indifférence de la nation, p. 71.
Les mouvements nationaux en Europe : comment et pourquoi ils se sont produits dès 1827 à 1832, et non après juillet 1830 : illusions du parti de la propagande française, p. 72.
LES ETATS, nullement unis contre les nations et la France libérale. Leurs rivalités et leurs prétentions en 1830, p. 73 et 74. — La politique russe de Nicolas Ier après Andrinople, p. 74 et 75. — Les inquiétudes de Metternich ; ses avances à l’Angleterre repoussées, p. 75 et 76. — L’Angleterre recherche la France et Louis-Philippe : la Conférence de Londres (1830-1832), p. 76 et 77. — La France arbitre de la paix en 1830, p. 78. — Talleyrand et l’alliance anglaise règlent pacifiquement la question belge, p. 79 à 82. — Louis-Philippe renvoie Lafitte et, avec C. Périer, maintient la paix en Italie, en Belgique, en Grèce, malgré le parti de la propagande et les ambitions de la Russie et de l’Autriche, p. 82 à 87. — La politique de Louis-Philippe de 1830 à 1832 : ses effets pour la liberté des nations et l’équilibre des Etats, p. 87 à 89, mal appréciés des Français, p. 87 et 88.