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SELON LE SEXE. 4~

voisinage; le cou, si malencontreusement caché sous le yachmack des mahométanes, mais si généreusement porté nu par les Françaises, suflirait à lui seul pour caractériser la femme comme pour l’embellir. La,saillie du larynx, qui rend le cou de l’homme si anguleux, est insensible chez la femme, et cela même qui accroît la beauté de son cou fait aussi la douceur de sa voix. Si maintenant nous voulions indiquer, parmi tous ces attributs du sexe le plus faible, ceux qui caractérisent plus particulièrement la beauté, nous devrions citer le prolongement du cou et des lombes, et leurs gracieuses inflexions; la coupe des lèvres et leurs oscillations imperceptibles, de même que l’espace souvent trèsétendu et largement cannelé qui sépare la bouche de la cloison du nez; nous citerions aussi le un tissu des paupières, la longueur des cils, non moins que la pureté du blanc des yeux, formant contraste