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Artum Parisit~s, amct Domîmi r’· in hto beati LaureD~ 1. On conserve encore au Treaor d« darfét une Antoine des lettres qui furent envoyées pour répondre i la ciraiMfe qui vient d’être rapportée. Eïles furent envoyées pour rép~re t1 ~t ci~~ -t ,d·~ ea sont émané** <*e^h«véq«»de Boulet», <fe Ifehw, de RooeiTeV de Se». ainsi que "L ^i r V* Wwwu <rAvranche,, de. Bayeux, de Beauvais. de Cambrai, de Chartre», de Oeono*. de Coûtante» a <ZU*A d«ITUîi luMaM- de Mende.de Km., de JSoyon. de Rode. de Séo. de Senlis, de Sowsons. de Térouanne, de Tournai et de Troves» L’exemple donné par saint Louis fut unité par «on fiera AMbnae. Nous poasédons le registre des restitutions dont ia légitimité avait été une par les enquêteurs que ce prince avait envoyés dans les diflerentes parties de son apanage Poitou et S*™1 ?"® : Vénaissin Auvergne et Toulousain : Ce registre vient dètre analvsé par M Élie Berger». Un arriére-petit^» de saint^uZ Charles, comte de la Marche et de Kgorre, donna, le ,a octobre ,32i. une miasion à [Jean Flotte], abbe de Saint-Médard de poissons, dans des termes que, n’aurait pas désavoués son bisaïeul Voua mande*» et commettons que rom a nos terres de Creci de Colomim et de F«Mouej" en propre personne ^ll.e. et e,«,uere. diligemment, .ppek. ce.» «mi «ont à «ppeler sommi" rement etc h, de tous lez griès non deu et injur«, viotumu et euctiOl» faiz a DOS sub6ie : par nos oOiciaus ou serrnj, et ex"om faiz a nos subgiez Le souvenir des enquêtes auxquelles saint Louis avait fait procéder étaitreste si vivace dans la mémoire des populations qu’un demi-siède plus tard •m ppe dongjne française, Jean XXII, les signât à Philippe le Lo4 comme un des actes les plu, njënloiw. du gouvernement de «rbisaW et lui recommandait de r^counr à ce moyen pour être exactement renseigne sur la conduite de ses officiers. Les proies mêmes du souverain Pontifr^éntenî d’être textuellement rapportées

Valde r^leremu, expediens «, prout tem[>ore c«nfe«orô egrrrii beati^mi^l udoxir. progenitons tui, factum audivimw. frequenter mitteres ad certa.x tui n~gni pmvincias relibrÏo, ’IOS aliquos Dei, justitie et veritatis amico. non ihcendentes ad questum. sinistram odü vel amoriw dextt"r’.un nf-ciente. qui. sub altenu."I leptionim sibi commu~ae colore. de gestibua officialium tecmto perquirerent, ac perquisita et reperta tibi fideliter reponarenl. ut. ad tidelem infonnationem eorum, adversus malos mandare.s. justitia mediante, pn~cexl ;: bonos autem in tui favoris R’tia conservaresl. Les successeurs de saint Louis avaient bien conservé l’usage d’envoyer dans ^diverses parties de leurs Etats des commissaires chargés, comme les JZ dominici de lépoque carolingienne, de réformer les abus administrTtiH judiciaires. Nous possédons même beaucoup d’actes’ «hJ^^ZoZ L~tan Ja Tiéarr A, t. m P.

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Lo~, a d~~r Poiwan p_ 388.W s.

M*. fr&uçait 208g !). fil 2 17.

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