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ore quantùm ad présentes, qui sanctam ipsius conversationem probando gus- a taverunt et quasi musica in convivio vini. quoad speciales amicos, qui secreta sapienti» ejus atque virtatum audientes quasi experti sunt musicam melodiosam et velut vini convivium delicatum.

Igitur post tot et tanta praecontorum praemissa magualia, quid aliud restare videtur, nisi ul Josi* nostri memoria tam odorifera, tam mellita, tamque melodio.sa in Ecclesia Dei, prout digntini est, perpetua perseverct ? Viclelicet ut in memoria aelerna stabiliatur iustus nostcr ; et deinceps justi hujus memoria sit cum laudibus solemnibus et devolis ; ac vere dilecti Deo et hominibus memor.a in b hencdictione sit omnium seculorum, et similem Ujum faciat in glona et honore sanctorum suonim ille qui in sanctis suis scinper est gloriosus et super exaltatus in secula seculorum, amen.

Chier luis, la première chose que je tenseiguesi est que tu metes tout ton cuer en DieU amer, quar sans ce nus ne se puet sauver. Garde toi de fere chose qui a Dieu desplese. Ces ! inorlel pechié. Ainçois devroies souffrir toutes manières de lourWns que pechier niorteliuent. Se Dieu louvoie aversité, sueffrela en bonne prao" et ru bonne pacience, et penses que tu las bien deservi’, et qu’il te tournera c lot a ton preu. Se il te donne prospérité, si ton 1 Imnnhloment, st que tu nen sois pas pires ou par orgueil ou par autre manière, de ce dont tu dois mieux valoir. Quar len ne doit pas Dieu de ses don» guerroier. Confesse toi souvent, et eslis confessors preudhomes qui te sachent enseignier que tu dois fere et de quoi tu le dois garder. Tu te dois en tel manière porter <<l avoer que ton conlessor et ton ami losentseurement reprendre et monstrer tes delaus. Le service de sainte église oi doucement sans bourder et truffer et sans regarder ça et la, mèsb prie Dieu ou de bouche ou de cuer en pensant a 1/doucemenl et especiauinont a la messe, a celle fin que la consécration est Tête. Le cuer aies dous et pileus ans povres et aux inesaisiés, et les conforte et leur aide selonc ce que tu pourras. Se tu as aucune sais.- de cuer. dis la tantost a ton confesser on a aucun preudhome ; si la porte- D ras plus légèrement. Garde que tu aies en la compagnie tous preudliomes soient religieux soient seculers, et souvent parte a eus, et fui la compagnie des mauves’. » lit escArt’te volenliers les sermons et en apert et en privé’1 ; et pourchac» olentiei-piiereJ. -t pardons. Aime tout bien et hé’ tout mal en quoi que ce soit. Nuns1 m- so.l si hardi qui Aiv devant toi parole qui atraie ou esmeuve a pechié, ne ne mesdie dautrui jwr derrières de delraction. Mule vilenie de Dieu ne de ses sains ne suellre que k-n die devant toi, que tu uen faces tantosl venjance. Rent grâces a Di.-u souvent de tous les biens quil ta fais, si que tu soies dignes encore de plus avoir. A justice et a droiture tenir soies redes et loiaus en vers tes sougiès R sans tourner a dostre na senestre, mes tous jours a droit ; et soustien la quercle au povre jusques a tant qu^ la vérité soit descleriek. Se aucun a afere ou E quen’le contre toi, soies tos jours pour lui et contre toi jusques que len sache la vérité. Quar ainsint le jugeront ti conseillier plus hardiement selonc droiture et selonc vérité. Se tu tiens riens de lautrui ou par toi ou par tes devanciers, se eat chose certaine, rent sans demeurer se ce est chose douteuse, fai toi en.1 querre par sages hommes inelement1 et diligaument. A ce dois mètre toute tontente k. comment tes gens et tes sougiès vivent en pais et en droiture de sous toi mesmement li religieus et les personnes toutes de sainte eglise. Len raconte du roy Quod (iratritli operi tubjunctum in uostro codice iotmniui. «xempiom tlocomcntorau Lodorici Tenu cuU lingui cooKripUun «1er» hoc iooo qu»cn»i» mullotie* «lia* mlaaidoctiaKBtarafMriurtnr. oyxrm lamm

VITA SANCTI LUDOVIC ! AUCTORE G.VUPRIDO DE BELLOIXKO. 

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LU. Quôd dignus ait inter tanctot adacribi. Ce sont les enscignenien» que li Rois Loys fut a son fil1. indantor aliam banc aiqnc «pua conu»«nuiu rr^ui»-MargarilK et JotoTilliam ci «Donjmum sancti Dionysii monacbum eucriptionem habebit, et eioleti nottntum Mrmonù audentiba* non nollio. «miluiMoti leciioiin A

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