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,i. LUI’ Ad Res Gallicas redeunt Barcinoncnsium Comi- d tum Gestn. Norunt omnes, jam ti à temponibus Pippini} Francorum 1< Rrges snpremnm habuisse domi- S nntum in Cataloniam, quam vie- a tis fugatisque Sarracenis Impe- à rio suo adjecerant, ampUu scili- s cet regiones illas, qum Pyreneos fc montet inter et Iberum fluvium mareqtie M éditer raneum habitan- S Christi 1188, Pa/xsti/tam anno sequenti pro/ectus est ad bellum advenus Infideles, gerendum. Qui Gaufredi Chrenicon in nova Bibliot. Mss. vulgqvit Labbehs, ah alia manu assuta existimatA quacumque in ea’ leguntur ab anno 1184. Rectè quidem affirmante Gau/redo jeannoll83 opus dictavisse. Rivet us in sermone prie-, vio ad Tomum IX. Hist. Litter. post mortem Auctoris editum narrando quomodb scient ise, currente XII seculo apud Francos cxcolerentur, hœc habet ad pag. 160 •• t Majoris pretu foret apud » ornnes, à Gaufredo peracta liis» toria, si tantd scripsisset elegan» tià quanta historinm Sicilim » conscripsit Hugo Fulcaudus, qui » Tacitus XII seculi citatur. » Perutile tamen agnoscunt opus Gaufrédi, historiée rcrumque ad gcncnlogias spectantium curiosi lectores. Amplum illius fusumque fragmentum datum est in prsece4enti Volumine. Insertum autem huic XI Tomo excerptum exegimus et ad Fditionem Labbei et ml Ms. Abbat. S. Gcrm. Pratensis Codicem, quem eruditis adnotatioflibus scitè et accuratè illustrant Dom. de Foncemagne, atr/ue suarum observationum consuetd srmpcrquc limatd urbaiitate, nos fecit participes. Patrem Guillelmi Conqucstoris Ducis Normnnnite Fustachium vocat Gaufrediu ast Guitlclmum naturalcm Ro !>erti Ducis filium nemo nescit. tout ce qu’elle contient depuis l’année 1184, a été inséré pajLUQe^ | main étràngere. On ne peut gueres ̃ K en douter puisque l’Auteur assure l’avoir terminée à tonnée 1183. } Oom Rivet, dans son discours sur l’état des Lettres en France pendant le XII* siecle, imprimé après < sa mort, dans le IX* Tome de l’Histoire Littéraire, dit à la page 160, que « L’Histoire de France » de Geofroi seroit d’un plus grand Il prix, qu’elle n’est, si elle étoit Il aussi bien écrite que celle de Si- > cile par Hugue Foucaud, qui est » regardé comme le Tacite du » XIIe siecle ». Cependant cette Chronique est très-utile pour ceux qui s’appliquent à l’histoire et à la science géuéalogique. On en a imprimé un fragment assez considérable dans le Volume précédent. Pour celui que nous donnons dans ce XI*. Tome, nous avons comparé l’édition du P. Labbe avec un manuscrit de l’Abbaye S. Germain des Prés, que M. de Foncemagne avoit déja examiné, et dont il a bien voulu nous communiquer une notice très exacte. Geofroi donne le nom d’Eustache, au pere de Guillaume le Conquérant, Duc de Normandie personne n’ignore que Guillaume étoit fils naturel du Duc Robert. A’ : LXXVII. Les Gestes des Comtes de Barcelone appartiennent à l’Histoire de France. On sçait que depuis le regne de Pepin, nos Rois ont été Souverains de la Catalogne qu’ils avoient conquise sur les Sarrazins. La domination des François s’étendoit sur toutes ces grandes province» bornées par les Monts Pyrénées Y l’Ebre et la Méditerranée, depuis Salces en Roussillon, jusqu’à Tor- ̃