Page:Bouquet - Recueil des Historiens des Gaules et de la France, 11.djvu/700

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et l’ordonna a demourer en la ville, tant que tout le sommait’ fut pas*1, f.c Duc Guillaume sceut, que le Roy et ses gens dévoient passer à Varaville si manda ses gens ce qu’il en peut avoir, bien XX» et pins, tant Northmans comme Bretons, et celéement se mist en la vallée Lez-bai-vent et quant il sceut que le plus de l’ost fut passé, il s’en parti, et ordonna m"* gens en tieux battailles, et se féry en Yaraville ofa l’arriére garde estoit. Ouant ceulx qui estaient sur la cliaussié ojrent la noise, si se commencèrent à hastcr de passer, et, (mutaient l’un l’autres ou mares, et nul ne povoit aidier l’un à l’autre et à si grant nombre se mirent sur le pont (lui estoit foible, qu’il rompit, et eliéy ; et tous eeulx (lui estoient sus, tuinbcrcnt en la rivière, et niolt en y ot de noie/ I.e Duc Guillaume et ses gens crioient Dieu aye et forment assaiUoieut les François. Le Due (luillauiuc oecist le Duc de Hcrry. Moult estoit le Koy doullant qu’il veoit [a) ses ’gens ainsi nover, tuer et prendre, et ne leur povoit aidier. Finablement le Due (jiiiIlaiime et ses gens eurent viltoire et n’escliapperent des François de la ditte arrière garde, (|iie [x :u ou nul <|iù ne fussent mors ou prins. Le Conte de Roiissy y fut prins, le (xnite de Soissons le V iconte île Melun, le P.ill.ilin de Bric, et anltres plusenrs grans Seigneurs. Si grant prinsc de prisonniers ne fut oncqrtes faitte en Northmandie sans plus grant occisinn. (v)iiant le Roy vit, si volt faire pons sur Dive, et poursuivir le Due (Guillaume ; mais le Pue de Rourgongnc son frère et ses gens lui dirent, que il y pouroit plus perdre que gaignier si s’en ala en France à tout ce qu’il ot de gens moult iloll.mt Jr et ne sceut l’en se ce leust par courroux ou aiiltrenient mais ii !»se/. tost après il morut et commença son lil/. PUelippe a régner après lui Koy de France, l’au de riucarnacion notre Seigneur mil FAI. Au sacre du dit Iloy Pliclippe ftiK le Duc (iuillaiiine en grant arroy et pour ce que les (lascons furent reijelles au Koy le Duc (îuillaume avec liés belle’ i’()iii|NUguie y ala, et pi’iurent jKir force Montaul>cm et tant traita et list le Due (iiiillaume, que lingue le sire de (>ascougne list dommage’ au ltt>v iIcsmjs dit et fut le Due (îuillaume moult aîné et aussy le 1)ftc ama bien le Iloy, et moult liiioltéy. Mais pour le grant bien qui estoit au Duc (luillanme, les François ennortoient le Iloy de lui l’aire guerre ,c ci Nous trnnlncroiis notre Kxlrait de nllo Oin>iiic|ur en rn rassemblant i< i <|iirli|ircs Ir.iils ilu >.>nn’.<iui iikiiI <(’iiv il i«r ci, -t’uur ̃<̃ (aulx l’» !rmei,t du fi. I l.utli. fut pmt remanie et ..<<i<ir jur le Duc de y,irm, porterait, i tnuijourieipe’e ,1 -rrctl tur fiirMer nu patientent, et le R<t > ternit tu ;t atmes et tant palrfior. le Due de’ Soim. ’•̃̃" /r /«r’V" Duelmdu R,.< de Fr. en fanant fctitlic ,1 hommage. Ht, hait I d.nma /"<>_> de maiui ^c a li filU du Duc Hue laquelle n’anut f/ue I III •J’n ̃/ <£’. r/ esti’tt nvmince .4gunne, c’ett à enai

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l’t Yai-Kileet rit Cuivre. R..lu H. Se un >’il feit /nur l’cniteme. II. du R. EXTRAIT DE LA CHRONIQUE MStc DE NORMANDIE. 3I.J tendic Jgnèt.•.«• ; iiui aptes ,jue Ru-lunt ,1 r «•</>«tcf lioivii’t, htt/uiiirlr A’» ./<̃/̃ iwtul, In/ui t Iniifit wy tir» fil ; w<mmr /.•̃> <, .«’ fu ll,,y^r,< tut en (an de çr-itr /X’. /«. ri H cl ne rr)fi,i ,,t : /.<̃>. <«̃ uilji<i» : et ilrffuiit, la h^’lif l’Imilrmumr, •[liant aux ! !•»< ,/<̃ ftume : il ,mtlc i imiuiih ./< r’r. à HueCappel, [>ar l’aide ttu Duc Kif/iatt ,[iti h vni eu «<l trur r<p<iu<e.e. Ru liât t II ji,t l,mt ,juc l, II t par fc./i aide ut tnulrl.i Du, lut de «..«< «i-w ,/Ut-Ic Omte Lundi in de .Vont lui Iflhni, ,t fim. Sens ri Aueerte. Cantine» i/ue tr K»r ./<• A», frul ’eml’tant yu’i/xr l’rnlrrnwt de la guérie :le <̃«̃• t/rn i Seigneurt Ui.liart II tl Kmlri]. i,,ulex,vie* de >. n contentement ici ([cm ici voient et nul’ient nu (̃ nie de Clmrtret et de Mus. tjuant le Duc Htcliarl ’il i.. • l m em<yer menaçei en Dunnemarchf, cte. C

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