Page:Bouquet - Recueil des Historiens des Gaules et de la France, 11.djvu/317

Cette page n’a pas encore été corrigée

Ixviij INDEX

(’.alliai ventent, apud Fuldam et posleà apud Moyunliam reclmus, claret. 358. b. 432. a. 638. a.

Berengarius Grammaticus, Andtgav. Archidiac. et Thespurarius, neenon et Magitter scholarum, Camerhrius Eccleiiœ B. Martini 7uron. in Grammaticd et Philosophid claritsimui, et in Necromandà jteritiuimut,

claret. 349. a.

Momlrum in Britannid nascilur tnfra uvibilicum hominem unum, suprà veto yeminatum habens. 412. e.

Anna Franc. Regina, llenrici I vidua, mipta liodulfo II Magno diclo, Crispiacenii sm Vadmsi Comiti. 564. c. Rodul fui Cornes, Hi-j/is llrnrici eonsanyuineiu, contra fat ducit i-jws vitluam utidr ej-communicalur 197. d. Gercasius, Hrmensis Archiejt. ad Alexandnim 11 Pajtam teribit de statu regni posl obilum llrnrici l Régis. Conqtieritur apud summum l’ontificrm de conjwjio Anna Ilrnriii vidutP mm Hodulfo Cretpeïi rt Yalesii Comité, llenrici propinquo, neenon de repuduilione u.cmi$ Kotlulfi. 499. c.

(iuufredus, l)u.v Atjuitanùr Sanrtonas civitatrm olisidet fume et gladio vas’at

usijiie dtnu Andegairnses qui erant in ed, et rivrs se m munibiis ejus tradant. 2’20. c. Ilerbertus, Cornes Cenomaii. frater ulrrinus Conani, Ducis llritnn. obit. ’231 c. 37’2. a. Y.V2. a.

V%> hnprnitri.r Agnex, nulriens tulliuc filium smim, rei/ni nrynlia per seipsam curât plur munit ulilur iiinsilio llrnrici, Auyustçnsis F.pisi’opi hinr niiioris incesli suspicionem rfjm/rrr n.r potcsl. PrincijH’s omnibus modis nihinliir lit ri mutre filium llmncum dislralianl, cl m ̃ Inms/i rant regni adnnnixlratnwrm. (> b-c. Itissentio grandis inter ipmiiii Im/ii-rat. <> Guinlbarum llnlu-iibrrgensrm t’i>is"i’itm. ’23. c. Anna, Colonne Agnp/.nnr

lnrp. iiilniti-iitibus ipnbusdinn rrym l’rtiK-tpiltits, llcnrntim. llrgrm piirriiiii i um l<m- ’,i il ,i !ns hiijiiin iiisii/iiihtts ii/n’-li main ii .iiln ijnl srriimijiir Cntnninm ndiliicil. i’2 f. -tir», il. ’"3t>. I). I m perii m/trim nh ,̃1,1, m .1. //«̃/<̃ irihiii t. Y.V1. 1) i. 11. Imf,, i.ili i.i iif, fi/ium s’i/in, un- iii/iinas mit un,- ,ji iiIiuih r.i pnsluliiir sr,l m prnpr m rrrrihns. iiial’in i>> inilnii/rrc pnipomt. dV.,1» i1. A,/iir !> lit’itt’ic rri/ni ne jinii/i rrjnln, //Jvm.r ,i.l iimiiin Apnsliiliirum .v •̃iifirt ibii/iir fans ..j,)l !is ml, i,l,l. iji/ finrlil IIM/Iir nlir I»I’IS ,,>n ;lhus fil r.ulUj.lo Y.V1 b. f’^S. I). I rlnmùl ̃ ii«i/i/i. ti. i/nt. V’ i". »l* il. ’i3’2. i’i l.’iil. e.

Ilit-mli i i’tt I, H’illilDilui- (’tifs, adlme i/o l’itlicm iiinilhl I li’/rnlium. utijur suli r,,ihi lul-iti e i pil ni/iinrr. li.’l II. I il. (.mm liili,)(lv. Caiiu ilmni niilnil rt

/i, t ’(̃>/ m (’.(ipiliulii S. >al<dloi is. m

̃ /-ri .mi/< ht’’ ,sonlitin. ir< hu’piM ̃’• /•̃̃ lur’ ̃ i Hrrrluitll-i’lliil.>•. e. l’iil,, ii n pi a/, lui ’H it’ilrin indi’ii ,̃ ,f, ï/. ,is’. ri’iitin lu li’iittiien, r ! ti. commence à éclater ayant passé de I’Ecomb dans les Gaules, il se retire d’abord à Fuldc et ensuite à Mayence. 358. 6. 432. a. 638. Bérengerse rend fameux il étoit Ardiidi». cre, Trésorier et Maître-Ecole à Angen, C». mérier de l’Eglise de S. Martin de Tours, içtvant Grammairien et Philosophe, et très-vené dans la Négromanlie. 349. a.

En Rretagne il liait un monstre qui repréiea.toit un homme au dessous du nombril, et deux au-dessus. 412. e.

’L’an 1062 de J. C.

Anne, Reine de France, veuve de Henri I, épouse Raoul II dit le Grand, Comte de Oépy et de Valoi». 503. c I« Comte Raoul est eicommunié pour avoir épousé la veuve du Roi Henri, dont il étoit parent. 197. d. Gervais, Archev. de Reims écrit au Php* Alexandre II, pour t’instruire de t’état du Ro/iume depuis la mort du Roi Henri 1. Il porté sa plaintes au Pape du mariage de la Reine ^nue avec Raoul, Comte de Crepy et de Valois, parent du Roi Henri, et de ce que Raoul avoit répudié ra femme. 499. r. (_

Geofroi, Duc d’Aquitaine, assiege la Vt^lede Saintes il la ravage par le fer et par la faniiue, jusqu’à ce qu’il force les Angevins qui s’y étoiont renteriwës, et les habitans à se rendre. 220. c. Mort d’Herbert, Comte du Mans, frere utérin de Conan, Duc de Bretagne. "231. c. 37’2. a. 432. n. v

L’Impératrice Agnès, chargée de l’éducation île son fils, gouverne par elle-même on soupçonne quelques intrigues d’amour entr’elle et Henri, Evèquc d’Aoust, parce qu’elle suivoit beaucoup ses conseils. Les Princes mettent tout en œuvre pour enlever Henri sa rnej*, et pour se rendre maîtres «lu gouvernement du Royaume. 62. b-c. Il s’élève une gprfule dispute entre rim|>éralrice et Gundhar, Evéquede Hainberg. ’23. c. Annon, Arcliev. de Cologne, avec le secours de plusieurs Princes, enlevé d’entre les mains d’Agnès, et emmené .i Cologne le jeune Roi Henri, avec IVpée él les autres marques d<> ll.mp.re. ’2. r. 1 T. f.3«. ’I| «’’» à gnes le gouvernement de l’r.inpire. <•(’-• <<̃. «.L’Impératrice ne veut point suivre v>n (ils, m user du djoit îles gens qu : lautonso.l .leiiumUT vengeance. le l’insulte «jti’on lui laisoil. elle relire rt preiul le paru «le vivre dans son |wrticuher CM )>̃<̃ l.lle renonce aux honneurs de la Couronne et du siècle elle >a a Rom. <beau .les A poires ; elle s’occuim-h lam- de bonne, m·mr~w, 1·t j~.ju’a’a j’ tlr ~J~ .mires, et jusqu’à la fin de ses j’11’ ? rll> l’exemple de tous les gens de bien. >̃>- ’̃ l.lle prendlïiabit de (t’ Religieuse. J-- <• •• ,1 Y.ï>. r. ti’i.T. r.

Tlnern Cou.lede Hollande, t-t.nH <’̃>««  .•niant, perd son |.ere Hoi+ut. rt .otninfiue ri-awr sous l.i tutelle de -a mère. »•̃ !̃ l (’.mWt· 11’ ln~mu, cnllitiul· 1111 011(,1.. |’o«d.pie. Comte d’

j..U. indique un <>

.l.iiis la ( hapelle de S. Sauveur .i ’f ce ( oruile ou pr,-Md«- T rchfW-que _de I«-n««".° ’onn ’"I 1’1’1"11" rr )(’"11"

condamne I ’Iht< -sie de lierenaiT. •’•• • ’• ’1 Ilym·, tuu·v. l’ ’ "n

I.e dAvnl. Hu«u. VMhe».de W^™

mt~~ny.ym~ 1 l’ l ’1.1 I,I,
UTon,|i^n.- .les l.vr.pies 1 u-.l»’ .1 ’r

AnnoChr. 1062.