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quo£^*ércketypum creditur. In -^obsérvatis de hoc Auctort diction i erat, pag. 75, opus ab eo scrip- 1 tum non f tusse j nisi post mortem, j `j Guillelmi Régis : cognitus posteà ] ad pag. 189, n. (c)> error i emendatur. cet Ecrivain^ on avoit avancé, Ouvrage qu’après la. mort du I s’appercéVoir de l’erreur, et on l’ XV IH. Ebrardus Regularis Canonicus qui à condito f ?atinensi Monasterio (a) ibidem vlxerat scripsit Chronicon a flfartenio el Durando vulgotum ex Ms. Abbatix DunenUs seu DunaruifS. Antequam steculo nuntium remitteret Ebrardus consuetudincm familiarjltatemque junxerat cum lienaldo du Bellai Reniensi Archiepiscopo quo tempore S. Martini Turonensis Ecclesiœ Thesaurariam Renaldus gerebat hinc Andegavum vef Turonum Ebrardum licet conjicere. Brevi octo annorum intervallo multa continet illud Chronicon tum MortastcrU tum regionis-Historiée utilia. Monasterii sui originern alque cnristitutionem accurati describit Auctor qiuedam refert de nonnullis Tarvanensibus Episcopis de Adela Flandrùc Comitissa et Roberto Frisio ejus Jilio quai, di/ficilius alibi reperiri credimus. Lihentcr apud cum legitur Historïa Otfridi qui fait anus ex prirhù Canonicorum Regularium Atintoribus. Scripsit Ebrardus inter an/ios 1080 et 1085. de l’Ordre des Chanoines Réguli* entre les années 1080 et 1085. («x Watmeiu* Momaiterùim créât» postmodùm S. Jtutammn Bpvcepmtm atmexum nt ; à quo ptuleà abtlracta bfma, JettùtiiJng lissant crmcttia. Bu/ui Mmmiuru fmmtomimla jtcùaïuto 107 j, qui primiu itttut **u Prfar fuit, veitrrabUu Otfruhu. DimpmJoâ smot *git ad mormam Regmlarium Camsucarmm, nuper m Galtia instuulorum sed iptorum nuUmm tune *r*t m ttmmkut Coiltgium, (ironie. Watinensis Monasterii. t point d’autre édition de cet Ou- H yrage, que celle d’André du Ches- ̃ ne il Fa publié parmi les autres H Ecrivains de Normandie, sur le I Manuscrit t de la Bibliotheque Cot- ̃ tonienne, qui passe pour être IV ̃ riginal. Dans la note qui regarde ̃ pag. 75 qu’il n’avoit composé sdn ̃ Roi Guillaume. On a eu occasion de I l’a cbrrigée à la page 189, n. (c)..̃ XVIU. Ebrard Chanoine Réfcu- ̃ lier, qui vivoit dans le Monastère ̃ de Watten (a) depuis son ori- ̃ gine, en a écrit 1t une Chronique, ̃ que Dom Martene et Dom^ Durand ̃ ont publjée sur un Manuscrit de ̃ l’Abbaye des Dunes. Tout ce que ̃ l’on’sçait d’Ebrard, c’est qu’avant ̃ de quitter le monde, ’il avoit été ̃ très particulièrement connu et ̃ fort aimé de Renauld du Bellai, M Archevêque de Reims lorsque ̃ celui-ci n’étoit encore quer Tré- ̃ sorier de S. Martin de Tours d’où l’on peut conjecturer qu’Ebrard éjtoit Angevin ou Tourangeau. Quoique sa Chronique ne renferme que l’espace de huit ans, elle contient pourtant grand nombre de faits intéressans tant pour le Monastère de Watten que pour l’Histoire du pays. Elle décrit très-bien l’origine et la formation de ce Monastère. L’Auteur y a fait entrer des traits de quelques Evèques de Tcroiiauc, d’Adèle1, Comtesse de Flandre, et de son fils ̃ Robert le Frison, qu’on auroit M peut-être peine ,î trouver ailleurs. 1 On y lit avec plaisir l’Histoire d’Otfride l’un des premiers Instituteurs iers. Ebrard a composé sa Chronique (a) Le Monastere «le ^iMMine vulgairement Waste ou Watten, ne subsiste ! plu», depuis l’érection de l’Eveché de S. Orner, pa qu’il fut réuni à la Man«e gpaacopalc : dans la suite let levenus ont été détachéi de l’Evâcbé et donnes aW Jésuites An^loit. Le »< 1 nérable Qtfride fonda ce Monastère en 101i et en/ fut premier Abbé ou Prieur. Il donna à ses Disciple* la Règle des Chanoines Réguliers, établis, depuis peu ta France mais dont il n’y avoit point encore tk Communauté dans la Klandr*