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  • aliisque factis m ttatione

lÏoM IÚÜMJdignis qwbus illustratur j ihilippi Prindpatus. Vno verbo nihU non tenUtbimus qub nostra CoUectio magit ae tnagis antiquitatum Historim Francim studiosis arrideat. Operis ardui, gravis et molesti labor intermissus et smpiùs iterando repetitus hue usqua nos minime deterruit. Hujus la* boris sariorum unius adversa valetudo

  1. alterius fertnk annalis

absentia, varia diversi generis impedimenta qum consulta pr» terimus, undecimi Voluminis hu~ jusce ColUctionis edhioni moram aliquam afferre, non animas frangere aut ardorem nostrum minuere valuerunt. Sic animo comparati à litteratis viris non minus opem et consilia quant benevolentiam expectamus. Ctettrum càm ab ineunte adolcscentid in religiosum cooptati simus sodalitium } cujus tot venerandm antiquitatis Monasteria Francim Regum fdvore condita sunt in subsidium rei Christiaiue et publicse hsec semper fuit nec unquam desinet esse •votorum nostrorum somma, ut Congregutio nostra tota, cedat in pietatis et litterariun emolumentum. Quod si qualicumque operâ nostra nonnihil contulerimus ad utilitatem JReligionif et Pat rue, tunc praclarè nobiscum nos pigebit. Croisades les affhmchiM*mens et PéUblissement des Communes, et plusieurs autre» événements reasaptquables dn Regne dont nous nous occupons actuellement à rassembler les monumens e nous donneN^itx¥asion d’employer dans Jes notes ou dans les Préfaces les observations que nous nous trouvons dans la nécessité d’y renvoyer. En un mot, nous n’épargnerons aucune peine, pour rendre notre Recueil agréable aux amateurs des antiquités de notre Histoire. Les difficultés et la, fatigue d’un travail lourd et pénible pris et repris à différentes fois, ne nous ont point jusqu’ici rebutés : la maladie d’un des Continuateurs de ce Recueil, l’absence de l’autre, divers obstacles que nous passons sous silence, ont bien pu retarder l’impression de ce Volume mais ils n’ont jamais ralenti notre courage et notre ardeur. Nos sentimens nous donnent quelque droit, à l’indulgence du Public et aux secours que nous espérons de la part des gens de Lettres. Membres d’une Congrégation dont les Monasteres sont destinés par leur fondation à l’utilité de l’Eglise et de l’Etat, nos vœux les plus ardens ont toujours été et ne cesseront d’être de la voir remplir un si noble objet en s’y dévouant toute entiere. Heureux, si nous pouvons y contribuer nous-mêmes, et mériter d’éprouver la douce satisfaction d’avoir consacré tous les jours de notre vie à la Religion et à la Patrie actum fuisse existimabimus, neque vixisse