Page:Bouquet - Recueil des Historiens des Gaules et de la France, 11.djvu/245

7"K :K ̃̃̃̃ -> ̃-̃̃̃ ̃-̃ cc~cl. Pt3~’lo’A Tl d 1 lo. f. autem 1031 ex Chronieo Autusiodorensi <venditiu est sextariut sa* lu solidù xxiij aut xxht, et tritiei solidis iv.’ Narrante Glabre,, eo* dent tempore modius sememtis ubi magis profîciebat reddidit in mes- "7- se sextamum ipseque sextariiu vue pugillum ità ut in plerisque locis fuerit modii pretium le soit’ dorum, alias quoque sextarius solidorum xv. Tradit idem Scrip•»•• tor anno’t 1044 inter cteteras rerum inopias vint tantùtn raritatem ejttitissc lit xxiv^ solidorum foret pretium unius modii. XVII. Prœfationis Conclusio. UiKC pauca de veteri jure /•’ranciea majorumque nostrorum .> regnantibus Hugone Roberto ̃± et Henrico moribus et institutis delibavimus, multa prmtermittentes, jam ocul’u enuliti Censoris àliorumque virorum Academicorum quorum comitiis adjuti fuimut subjecta typisque destina ta i ; sed qum non capiebant angtuti Priefationis nimiam in molem accrescentis limites. Itinc ex observationibus nostris in jus féodale ra qux spectant ad serx’os colonos et collibertos manUmissiones spontaneam strvitutem gt ignobilium seu plebeiorum ordinem à bilium jeu plebrioram ordinent et servis distinctum 1 pcnitùs omisimus. semens la servitude volontaire nobles dans la nation, distingué Plures quoque resecuimus observalioncr ad Jus Ecclesiasticum Gallicanum pertinentes nempe de quibusdam summorum Pontificum prmrogativis et opinione jam tum apud nonnullos grassante Papam omnibus mortalibus (immô Canonibus et Conciliis) superiorem soli Deo subjacere nec à nemine nisi à solo Deo judicari Tom. 10. f «I. • Ibid.pp.kl. ri 48 ILid. v. tll. Suivant la Chronique d’Arçxq^felf lé septier de sel valut au OQnuMfcJ cement du Règne de Hewi L j|j£ qu’a vingt- trois et vingt, -o«aW sols et le septier de firopyql quatre sols. Gkber dit .que le même tems un muid destinent» rendoit au plus un septier, ce qui il monter le prix du bled à aobcu^ sols le muid en quelques endroits^ ï et dans d’autres le septier à quinze sols. Le même i Auteur nous jq ;» prend aussi qu’en 1 1044 le vin étoit d’une cherté extraordinaire, et que le muid se vendoit vingt-quatre sol»,, XV IL ",i, Conchition de cette Préface. cO. -< ` Nous nous bornons à ce peu de traits concernant notre ancien .droit : et les mœurs et usages des Frau* çois sous les trois premiers Rois d» la Race régnante. Nous en arioni destiné un plus grand nombre* l’impression et ils avoient déjà passé sous les yeux du Censeur et des autres sçavans Académiciens qui nous ont aidés de leurs conseils et de fleurs lumières. Mais les bornes étroites d’une Préface qift l’on ne pouVoit augmenter saas, trop grossir le Volume, ne nom ont pas permis de les employer. Nous avons don supprimé par rap* port au gouvernement féodal ce qui regarde les serfs les colons et tes colliberts, la foriW des affranchi*e et l’existence d’u Ordre de noné de celui des serfs. Nous avons fait des retranchements plus considérables dans la Section que nous avions assignée au Droit Ecclésiastique Franrow-Les observations que nous y avions rassemblées avoient pour objet le» prérogatives des Papes, l’opinion que l’on « «voit dans ! quelques «f droits de leur indépendance at*Q* lue. même à lésrarM des Canons,