ceij 1. 1 PRMFATW. Turonepsem Arclpprmsulem àrea an nu m 1023 r « Si Pallium re» quisistis à Romano Pontifice, et > ipse vobis illud sine causa dene- = »* gàverit propter^ hoc non est » opus dimittere ministerium ves» irum •. Regi sacramentum fidelitatis prtestare tenebnntur Prtcsules, quod à Siguino Senoneiisi Ifugonem exegisse suprà meminimiis. Integra legi potest in actis Retnensis Sancti Basoli Concilii promùsio Regibus Franco5. rum ffugoni et Robèrto ab Arnulfo Remensi solemniter facta. Plertque Prtesules se Episcopos Dei gratiâ suis in epistolis inscrisi. bunt. Fulbertus in litteris post annum 1019 datis se didit Dei et Rolicrti Rcgis gratiâ Carnotensjum Episcopum. Quod congruit alii ejusdem epistolarum lato uhi se Carnotensem Episco* patum dono Régis obtinerc profitetur, n De Jslone, r Episcopo Sanctonensi et Coadjutore Archiepis-’ ̃>. copi Burdigalcnsis mentio fit apud Ademarum Calxinensemï A ’nonymus Auctor Appendicis t hronici Fontnnellensis narrât visum fuisse Rothomagensi Ari>. chiepiscopo Malgerio ut « Ab» bot cm Gradulfum sibi substi« tueret, et f’icarium sub se be–j> nedictione insigniret Epixco» pâli » ed mente profect’o ut cjus viers supplcrtt tanquàm ipiius suffraganeus vêtit um enim erat jure canonico illà tetate vigente ne cujusld/ct viventis Episcopi successor eligeretur aut consecraretur, nisi prœdecessor Episcopatum abdicasset. Stephanus /rallavensis Eccles’ue dictus Kpiscopus à Romano Concilio y. nnni 998 de onmi ordiuc sacerdotali dcjicitur prœsertun ed ds causa quitd vi vente pnedeces-W. 10. p. ’lbwr. <0. p. ». a
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y lbid.,r. 516. Ibui.p. 438. Conljilloro et Su(fr*( ;anei. lUd. p. ITi’J. x r Ton». II. y. . lom. 10. 339. Primats Fulbert ne erovoit y pas qu’il fût nécessaire à ua Archevêque pour s’acquitter de" ses fonctions, quand le Pape le refusoit sans cause légitime. Nous avons déjà parlé du serment de fidélité que les ° Evêques fàisoienV au Roi. ; nous avons vu que Hugues-Capet après son avénement à la Couronne, l’exigea de Séguin Archevêque de ° Sens. On représenta dans le Concile de S. Basle celui qu’Arnoul Archevêque de Reims, avôit. fait aux Rois Hugues-Capet et Robert les actes de ce Concile nous font conserve en entier. La plupart des Prélats s’intitulent dans leurs lettres Evequcs tpar la grâce de Dieu. Une lettre de Fulbert au Roi Robert est remarquable en ce que ce Prélat s’intitule Eve’que par la grâce de Dieu et du Roi ce qui est assez conforme à un autre endroit de ses lettres où il reconnoît qu’il tient J son Evèché par le bienfait du Roi. On voit dans Ademar un Evèque de Saintes Coadjuteur de rArchevèque de Bordeaux. Le Continuateur Anonyme de la Chronique de Fontencllc fait aussi mention d’un Abbé Gradulfe fait Grand-Vicaire et Coadjuteur de l’Archevêque Mauger, apparemment pour exercer en son ahsence les fonctions Episcopales en qualité de Suflragant air il n’étoit pas permis, suivant la discipline de ce tems-là, de donner un successeur à un Evèque vivant, à moins que le prédécesseur n’abdiquât son Evèché. Etienne Evèque du Pui, est déposé et même dégradé de l’Ordre de Prêtrise par le Concile de Rome en 998, eu partie pour avoir été ordonné Evèque du vivant de l’Evéque Gui son prédécesseur l’Archevêque de Bourges et l’Evéque de Nevers furent séparés de la Communion Apostolique parce qu’ils l’avoient
