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aprul Lambtrtum Aréentem «phibit Adela Comitatûs Ghisnensis prœdives incola. « Omnia enim » prxdia que ubicuïnque Unebat • et possidebat in w^ » Morinensis Episcopi sui tamen avunculi, Framerici resi» gnavit, et ei hominio facto et » exhibito eadem omnia ex in» tegro recepit in Feodurrt*. Feoda vero ex tali cvmmutatione orta, apud récentes juris Feodalis con.sultas reprisiae nomine douant ur. Allodia à cateris postessioni~bus distincta passim sed prmci- v puè in Diplomatibus occurrunt. 4 Ayvreum Parisicnsis àgri Alo- i dum dictum in Diplomate Ro- l boni anni 999 Fossatensi Monasterio spôntaneâ voluntate trirrasrerio ’spootancâ voluntate tri. t buit t Ermenfredus miles, Co- l mitis IJurchardi Fassallus r tan- <{uam prajdiumsuaBpossessionis : villa, autem Licias quam de d Coriiitis ejusqi* (ihi beneficio tencliat, cidem Afonastcrîo non & contuht nisi de utriusejue c^nsensu et voluntate. In confirnmtUme la fundationis Abbatiœ Hucharimsis anno Î031, Alodi à/undatore t donati pltinb distinguuntur ab Ecclesiâ qu« erat de l,encficio Fui- U œnis Comitis et Godfredi filii ,e< ejus. t’emmtamen Allodiorum atl nomine aepè désignante benefi. Le ri» liercditaria. Apud Scriptorcm <h i. f’vstorum Dominorum Ambasicnùum legitur Pontilevium {^ ditiiuini proprium fiscum et étc allodium Pontileviensi Monas- 4L terio ab codem fuisse donatum ex- nQ| «.’ptis paucis feodis • attamen in qu’ (hartd fundationis ejusdem i/o- j^ nasterii expressis verbis enun- d’A riatur Gilduinum ,ltBC omnia Sei, possédée He beneficio ComitU pre Mesetuu. Idem Scriptor Mon- aOi U-in-Rabdli proprium C.ilduim ^Z Xamolium rcro de proj.rio feo^ yA{ l~ Tom tO. 11

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~~T/0 ̃T *.•.«««» sous |a protection 2 «« q^lque ; Seigpeur pui.L, £ ~rn C~édité. 1 Adele. 1 rkàe bat~ le Comté de Guisna, a< remet ! nrr,r ~lllrux les mains de .1’Ev~~ ta- de Terrouanne lui fait hoaunaTT et 1es nprend en ftef perpettual~ j,a~x et bert (FArdres appelle cet Acte «“ irs- échareg~e d’~llles~ `R f~ f Lu Feu-¡. da distes modernes ont appelle /S °> *̃ ?* ?? ceux qui avoient un. >«- semblable origine. w. “•_ v lies monumens des trois preu m,ers Règnes de la troisième Race, zt. et sur-tout les Diplômes, nous reo_ présentent des Alleux distingués des autres espèces de Domaines. La terre d’Ivry près Corbeil 1 était

? un véritable Alleu |e Seigneur 

qui en fait’ donation à l’Abbaye de r- S Maur en dispose spontaneâ vo. S. Maur en dispose spontanée vo. e luntate>- aussi est-elle appellée Pr». Q rf/«/» j«« possessions ^/orfw. Il n’eQ est pas ainsi de la terre de Lices qu’il tenoit en bénéfice du Comte Burchard et de son fils ; il leur demanda (’ la permission de la donner à cette Abbaye. Nous voyons dans un Diplôme de Henri I que J’Eglise de l’Abbaye de Noyers étoit tenue en l»éuéfice des Comtes d’Anjou ; mais les Domaines que le fondateur y attribue sont de véritables Alleux. Le nom d ’<̃« n’est pas oependant toujours restreint aux propriétés libres et indépendantes. Comme originairement l’hérédité étoit un caractère distinctif des Alleux on a souvent donné le nom $ Alleux aux bénéfices, lorsqu’ils sont devenus héréditaires. L’Auteur des Gestes des Seigneurs d’Amboise appelle la Terre des Seigneurs de Pont-le-Voy le propre fisc de Gilduin plus bas il ajoute que cette terre étoit son propre A/eu et qu’il la donna à l’Abbaye, à l’exception de quel-