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torique des divisions, qui ré- t gnoient entre le P»pe Grégoire «  Vil et l’Empereur, il jxé#n* < toujours Henri .comme « oou|kM^ I et H ne montre dans Grejjowe qùW autorité légitime et Jurte» i ment- employée. Suivant la super» J stition et rignoranoe de son tems, i il décrit des pluies de chair, de sang, » de crapaux, de poissons il dit qu’on j < avoit vu. du sang txtuler de plusieurs j i pains et que ces phénomènes sem- < bloient présager du changement dans j i F Etat. Sa Chronique est estimable, i quoiqu’elle ne soit- pas absolument exemte de fauîes c’en est une de dire que l’Eglise de Mets ayant refusé d’admettre CEvéque que te Roi Henri avait substitué, à Herman en 1093, il en choisit un qui jht sacré à. la mi-caréme par Gebehard Evéque de Constance, en, qualité de Légat du Saint-Siege. Hugues de jhavigny Moine de Verdun et témoin oculaire, dit que l*E*êque élu par le Clergé dé Metz, fut ordonné non y la mi-carême, ni par Gebehard ; mais par l’Archevêque de Lyon, assisté des Evèques de Langres et de Mâcon, v la première semaine de Carême. Il remarque que cette ordination auroit dû se taire par l’Archevêque de Trêves Métropolitain mais qu’on ne s’adressa point’ à lui, parce qu’il s’étoit déclaré pour l’Antipape Guibert contre le Pape Grégoire VII. IX. La Chronique du MontSaint -Michel devrait plutôt s’appeller Chronique de Bretagne ou d’Anjou, parce qu’elle ne contient presqu’aucun événement qui n’appartienne à ces deux Provinces. Elfar a" été tirée dès Archives du Mont S. Michel ; peutêtre aussi a-t-elle été écrite par un I. toÙp mmtms contra, eumdtm susapwwt. QuotUs mgit de distidut Gngormm Kit mtar et Imptrépnmuntiùti •impair’- «erà /«trttf •f légitima (uraIm^ oucÊoritotê. narrant phtvUu eantù, M*g*i~ mis, bufonttm, pitcùtm, atqm sanguintm de patùbus tfftuxisst ; addit que singnla aliquid uni in regno portendere credebantur. ilEUùnt facieàdum itlud Chronieum, Ucet meiidù aliquibusmn careat mendum «tt eàm rf/cù Mctensem Eedesiam, refutato Episoopo.quem Henricus anno 1093 Hennanno suffecerat, ipsam sibi canonicè Paslorem elcgisse, eumque à G«behardo Constantiëpsi Episcopo, Sçdis Apostolicae Legato consecrari fecissû in medio Quadragesimae. Hugo Flavinûuensù yfrdunensi* Monachus testis oculatus fissent à Clerù Metenti electum, non média quadragesinid, nec à Gebehardo sed prima hebdomadâ Quadragesimm _ab "Archiepiscopo Lugdunensi W> sistentibus Lingonensi • et Matisconensi Episcopis, fuisse sàcratum. Observât Hugo sacram hanc inunctionem à Trevirensi Metropolitano peragi debuisse ipsum vero non fuisse petitum, quia contra Gregorium PJ1 -eut sectam Pseudo-papte Guiberti sese adjunxerat. IX. Britannim Andiumve Prtrvinciarum, quarum res in primis continet, meliiis dieeretur hoc S. Michaelis in Monte Chronicon, sic vocatum, qubd vel ex hujus Abbatix Arc/uvis exiractum, vet rtb ejusd*m tact Monacho fuerit conseriptum. Vulgavit illud Labbetu Tomo I