Page:Bouquet - Recueil des Historiens des Gaules et de la France, 11.djvu/137

Cette page n’a pas encore été corrigée

Abtolutâ Scriptonm Monumentonmque notitid, nunc aliquid de. Jure Regni l>ublico Feodali et Eccletiastico Foribtuque Francorum reynantibxu Uugone Roberto et Henrico dicendum. Porrà Prarfatione jàm itf molern atperioribus longe majorent accreteerite 6revifati consultent fore credidimus si lalinœ columnm gallica non *emper ad amuuim adœqujaretur sed talvd et intégra rentra subttantid, sallem argumenti series et svmmà in unâ in alterd ver0 probationes ex ipsùmet Auctorum ’et Monumenlorum ver bis, quantum fieri licuit, emhibrrentur. De Ordine success. in Regnum, filiorum Associatione, et natumajoris Jure : Item de Regum et Rcginarum.Inauguratione. H "«otiK-CAUTo ad regium solitim evecto integrum perseveravity incôncussumque f quoad ejus posteros, permansit jus hereditarise suceessionis simili ciitn Monrirchid natiim. Hoc sacerX rimo apud Francos jure, Hugonft succedit Robert us Roberto ffcnricus, Henrico Philippins. Equidern .prioribus Capetianm Dynastix Hcgibus mos fuit filios s nos natu-majores in Regni consortium adsciscerc. Vcrum id liegurn prudentiw 7 nulli nec’essitàti tribuendum. Hoc scilicet pacto 0 Tom. 10. p. J’ et lieredibus suis à tnrbis et

  • 69"’ tuniullibus per Prtmores forsitan

ejecitandis supienler pretcavebant sicuti apud breve Chronicon in IJcnrico l desinens dicitur de Hugvne juvene propter Francorum seditionem in Kegem swlilimuto, nec non de H agonis deftimti, frntre Henrico ordinato in De la Succession à la Couronne de V Association au Trône du Droit d Aînesse, et du Sacre et Couronnement des Rois et des Reines. J~À a loi de la succession héréditaire aussi ancienne que la Monarchie, se maintint dans toute sa vigueur après la révolution qui plaça Hugues-Capet sur le Trône. C’est en vertu de cette loi fondamentale du Royaume que Robert, Henri et Philippe parviennent à la Couronne et si les premiers Rois de la troisieme race associèrent leurs fils aînés à la Royauté c’étok l’effet d’une prudence attentive à prévenir les troubles de l’Etat et non pas une précaution de nécessité, pour assurer le sceptre à leur famille. Cette association étoit déterminée par lcs Rois dans l’assemblée et de l’avis des Grands du Royaume. Hugues-Capet assemble à Orléans les Seigneurs de France et de Bourgogne pour la cérémonie du Couronnement de Robert. Robert consulte les principaux Seigneurs sur le dessein qu’il a de faire couronner SECONDE PARTiE. Nous avons rassemblé dans cette seconde Partie quelques observations concernant les Loti les Montra et les Usages de h Nation sous les règnes de HuguesCapet, de Robert et de Henri I. On s’appercevra aisément que le francois est assez souvent plus court que le latin. Comme notre Préface se trouvoit déjà beaucoup plus étendue qu’aucune de celles des Volumes précédents il a fallu abréger. Cependant nous ayons fait en sorte que le françois présentât toujours le sens exact, et au moins le précis du sujet dont te latin contient souvent les preuves tirées des expressions mêmes des Auteurs et des Mo’miraents originaux. I.