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selon l’opinion de beaucoup de gens, sont créés Rois dit Gerbert dans une I /élire, où il nmnde à Adatheron Evéque de Laon, qu’à cause de tes crimes et de ses scélératesses on lui a choisi des Juges et où il l’avertit, en homme qui est instruit de ses factions et de ses conspirations, de ne pas mettre son espérance dans la Loire et dans la Seine. 402. e. 403. a. Le Roi étant mort, Hugues Capet est établi en sa place par tous tes François, lesquels sont aidés par le Duc Richard. Hugues marchant à la tête d’un puissant corps de troupes contre Arnoul de Flandre qui lui refusoil le service militaire, enlevé à ce Comte Arras et toutes tes places en deçà de la Ijs. 18-’». c. Guillaume lesJ>L"ces (’11 dt, tic.’ ta Lis. UV., cP yup Dtrdon de Jumieye attribue ici « lluyues ce que Dudon pag. 141. r. rapporte au Roi IjOthaire. D’autr, s Ecrivains racontent quelque chose de semblable à Fan 005. Arnoul est r/conciliéavec IcKoiet avec tes Princes François dans un pourjwrler, par l’entremise de Kielianl Duc de Normandie ; et il recouvre Arras. 141. c. « Le Roi Louis meurt dans la première fleur de l’âge, et le Roi Hugues,’ sorti d’une autre famille lui sueeole. Ce que le C.letv Arnoul, fils de Lot ha ire, sti|t|x>ilant avec |>eine, il ramone son oncle Charles en France, et prend I «ion, qu’il retient. 2O.">. d. l,e Due Hugues, par les ellorts île Richard 1 Due de Normandie, et jvar eeu des auires iVincci du Kovaume, «>t élu et crée Roi maigre l’oi^tosition d* Arnoul, neveu de Charles, "JN."». d. Vrnoul Clerc tte l’F-glise de Laon, prend imi Lvèque par ruse et |>ar fraude, et se rend m.iitre de son Fgliv. » I ’». d..VJ’J.c |>i es avou répandu. l>eaueoup de san^ humain a|»r«-s ,i ir pille
tU lornlt~, il mt ..ail : 1’1111 l,Ii tl,m, ;1’" aw’t1n11t·t· et hrule, il est eond.iniiied.ni> une assemblée «les F.vèques de toute l.i Fr.uiee. ’il t. d. Adalhcron Archevêque de lùinis, mandt au Due Charles «ju’il n’est pas emi le trouver à cause ik’ la tent’Ul’ de m s soldats, qui courent ça et la il r.i|>|x Ile a sa mémoire ce «ju’il a promis louchant la |>ai l’onii-lemps cherchée entre les liois. Cc|>cndaul il l’avertit de traiter dotieement la Reine et l’I-Aêque, d de ne se laisser aucunement eiife.iner .entre des murs. 3K. e. Wi a. !.<̃ même dans mx Lettre repond aux lilleirnles plaintes de ( Jiarles il lui remet en mémoire le eonseil <|u’il lui aoil donne, d’aller trouxer les(>rands de Hlat au sujet de la couronne. Uni etois-je dit-il, pour elalilir moi seul en le s,ierant un Roi sur les François ? l ne o|M’ration de eette nature est |
irag±- il tin lilat tsitier, no.i «Fun |Kirtieuli( r. Il lui n’pr«H’he ensuite dheiM’s cliiKt". se.i<nr, d’avoir envahi le sanctuaire du Seigneui «le N*«Mre s ;tisi de la Heine, a <jui i) avoil l’ait viinent, d’avoir empi isoune IKvè- (|iie «le 1-ion, et d’avoir forme contre son Seigneur un dessein au-dessus de ses forces. 3l>’i. c. d.
- i Reine Ivmine écrit à un Prélat le priant de
la secourir dans sa captivité autant et «le la manière qu’il le jx-ul. ;Wi. e. I^i nituie écrivant à l’Impératrice Tlieoplj.iuie, accuse d’impir^e Charles de Lorraine, et mj plaint de sa captivité. Charles, dit-elle, s’est empan’- de eslmultorum, interJReges creantur inquit Gtrbertus in Epistola in qua mandat Adalberoni Laudun. Episcopo, electos ipsi esse ob criminel et scelera judices et in qua, consenti factionum et cotuspirationum ejus monet ne spem ponat in Liyeri et Sequana. 402. e. 403. a.
Mortuo Rege in illius loco ab omnibus subrogatur Hugo Capet, adminiculante ei
Duce RichardoSltic adversum Fiandrensem Arnulfum sibi militare renuehtem arma movetut, cwn vafida manu fiostica Âtrebatum illi uufert et cuncta munit ipia titra flumen qwnl Lis vocatur. 184. c Willelmus Gcmctic. hic Iribuil Hugoni quod Dudo |wg. 141. c refundit in lx)tharium Rcgcm. Simile quid refei atit alii Seriptores ad annum OOô. Arnulfus ’in Placito rrconcitiatur rutn Reye cl Franciyenis Principibus interventu Ricltitrdt Ituci.s Awmj. Atrebalum- <jtie recipit. 1 41 r.
Ludvricus Rex in primario flore juventutis obit etJÊuiccedil < ,r alia familia lhi(/<> Re.r. (JuaJ graviter frrens Arnulfus (.<•ricux Iu)tliani filius fmlruum (Uiruliun in Franciatn mincit et huvlitnum rapit et relinel. "205. d. Diix llu</<> annïterdf lUrliardo l. ortn. Duce nvterisqtie regm l’nnvi/nbus eligttur cl jifovchitur ` in liitjctn cnntradicvnte hcet Arnul/n, ne pute Caivli. "J85. < Ar nul fin filins F.cclesM’ Ijiuduficn.sis t j<is< (ijiuin mum dttlo et friiude capit, Ki ilrstam ejus pervaiht. ’». d ..VJ’J. e. Pdsl wultuni cnitircin humant Siitii/umisti se tffusi, pnst prce.hiji et iiiicinfia in convenlu totius Hallitv Episcofmrum (laniitatur. 414. «7.
Adttlber» Art lut’jiist ojtu.s Item, flaiulu Duci maihla ! .w non rcni.we ad emn <>h fcmn’em miltltuu ejus hac iHiictpie dncurri-ntiiun in tnemenamejus revocat </it<»l firomnil <le pace lulcr Hf/fes <iiu i/u<rtta hth ii ?i v.t>net eum ut l%i<ji>iain a< Fptucoitum lent ter r traclc !, et in1 mt<r muiiia « on* luth se patiatnr ulU liants. ’lV. c.’AWi.d. /< /.i in F.} -tnlti virus tjin relis t’.ai~tt resjn>ndet consilitJiti a se ci tlatttui m ineinnriam revu, lit (/r dilchinl (A t’i’tfttt l’i itjitihlius pru tei/nn {tins eniHi tnipitl rit sultts Rctfcin mii/endi) ti/ijtiiurein Francis.’ Publica sunt lui’i net/iithi //o// //railla. Demde ei earia e.rjirubrut m-mpe Sun. tuartufit ih’intYii percusutn li< ’ji/tn juraverut, cntiipreliensitin </ F.jiiscuj.irii l.audmtensetn car* en imui< ijialiiin et cniisiliitu’ < nuira Senu’iem ultra cires .^us-Ce /iiuiu^ ’A’Ji c. il.
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Scnbit Emma /«V-yr/iJ ad Pnvsul^in, rw/ans ut silii cajitira" tptantum et i/uiims pnl> st au-iilittur. 3’î. ♦ Eadem scrihens ’t’heitphatmr Impérial ici, imptclalu aryuil C.arolum Ijothannyium etqwriUir.de captivitale. (’a roi us ituptit reyiam urb<m.
