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M (kwx ilio S .1’1011, »V 517 (I P** 30*. ’^ si» ; F.x R~menton

  • prmpediia patris vota pro co*

ronatione natu-majoris /S/#Y, i ttun consUia et spes matris y qum Javebat juniori, et ’pro qua stabant Episcopi ; tutn ipsitts Odolriei dubium de saniorc sentent/a. 7° Tune et posteà ingens. fuit tUsputandi argumentant S. Martialis Apostolats. Hune ita mordicus propugnabat Ademarus Cabanensis, ut, etiam si aliter Papa corruptihilis statueret se ei non obeditunun projiteretur Qbedire oportet Deo inagis, scribef>«t Me, «pi-un Pajœ lioniano, etc. Arnulfus Aurelianen&is in ConcUio S. liasoli, et Gerbertus in -Epistola ad /f’ildero<ium etc ̃ idmt dù-rrant. H" Carnotensis Episvopus ordinal ur jussu lîrgis »*̃ invitistjur Canonicis. Aon igitur Odo Comvs supn-mo jure gaitdeket in Kpiseopattt.K sui Comitatm. 5~ V Callhv Christian* ¡lin s. .Juctores et alii foco forsan Sy- t nodi /iemensis dtnpti, et confun- C dm tes perwnax, sTïT/iytantcs ver- I ba /irnnonit c iJng&wnsis esse o verba Gutvsmanni .1 mhianensis I tradtmrÙiu’ fuisse nepotem Loi n tbjrii Régis, et consanguineum V .Uiuil^ i strehiepiscopi et Bruno- ci nis Fpiscopi. Certè in Avtis<ioneiiii ne verbum qaidem oceitrnt de n ̃tntjns modi consanguinitate <piod te snnè mirttm legenti débet aed- f 7 derr. 2° Si qnuauam tnihi mon qt crédit, inaujt t sldalgirus ic cmlati-ni, forvrnti aqu^ can- h denti i ferro cU Et pag. 528 à Kainerius wmaculum Episcopis qv offert suum qui |kt ignittts vo- ch unies inaxkiis etc. Sic ferc- C* bant tempora, sm potius supersti- pe no et ignorant ia, ut fuee et si/ni- qu lia veritatix expérimenta, qu* la judicia Dri appeliabantur 1 me- ap diis ,W ipsUmet Coneiliis pr< nulfo ont ferè nullo reclamante qu "̃’ 7 "̃ "̃ ̃ "̃ ̃̃’̃ ,1’ h PRjEFÀTIO. h t c Si ri n .1 i I roco* aîné, lesquels se trouvoient travereés ; les mm desseias et Jes espérances de la mère, qui /«- favorisoit le cadet, et avoit pour elle

  • bant les Evéques le doute d’Odolric même

olriei touchant le parti le plus sage à pendre. 7» 7* L’Apostolat de S. Martial fut alors ^/»«- et dans la suite un grand’ sujet dédistialis pute. Ademar de Chalîânois étoit pour rikàs Taffirmative si opiniâtrement, qu’il al^aba, loit jusqu’à dire, qu’il n’en démordroit °apa point, quand même le Pape corruptible non décideroit le contraire. Il vaut mieux f Jbe- écrivoit-il, obéir à Dieu qut< Pape de% ribe- Home, etc. Arnoul d’Orléans dans le no, Cécile de Reims, et Gerbert dans sa in Le ttre à Vilderpde etc., avoient ainsi rtus parié. 8«. Un Evêque de Chartres est rfc,_ ordonné par ordre du Roi, irfalgré les -mis Chanoines. Le Comte Eudes ne dispoegis soit donc ^oint en souverain dei évêitur chés de sa O)niU’ ?. tde- tilw ™* LV. i« Les/Auteurs de la Gaule Sy- Chrétienne et d’/utres, trompés peut> ètn> f>ar un endroit du Concile de S. >cr- Basle, et confondant les personnes, •v.v,. on prenant les jiaroles de Hrunon de /v Langes pour celles de Gotesnian d’A’mmiens, .manjuent que celui-ci étoit ne- > um veu du Roi Ljothaire, et pareut de l’Arw>. chevèque Arnoul et de I’Kvàjue Bmonnon. Du moins, les Actes du Concile de ne portent f>as un seul niot de cette préod tendue consanguinité ce qui doit sans ri- doute surprendre le Lecteur. 2« Si quelon qu’un ne m’en croit pas sur ma parole, dit r, ici Adalger, quil s en rapporte au frù, U- à rcau bouillante, au jer chaud etc. Et 18 à la Page 528, Rainier offre aux Evè>" ques un sien domestique, lequel mar^>chant à travers les coutres brûlants, etc. CVsUinsi que les teins, ou plutôt la superstition et l’ignorance, permettaient »• que ces sortes de moyens de découvrir

  • • la vérité et d’autres semblables qu’on

appelloit jugemens de Dieu, fussent proposés même en pleins Conciles, sans ’e qu’aucun ou presqueaucun Evèque s’a-