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7 0IIte X. ~t~tt~Mt y<~Mc X. 1. 1 t · .< "t’ et de sujet, au Roi, ae trouvent «primés dans sa réponse pleine de noblesse à Robert 17* nous recueOloos de la lettre 50% que le Roi Robert ai- < iiH>itU chasse : 18* quand nous voyons j u une pluie de saiig, qui n’étoit peut- i être qu’une simple apparence, un effet j ou un jeu de la nature, prônée pw Fui- i bert oomme un prdnostio assuré d’un < malheur public, d’une peste ou d’une i guerre sanglante t nous nous en pre- «  nons aux teins, que le. flambeau delà < critique n’avoit. pas encore éclairés. Presque tous nos Historiens, en effet, depuis Grégoire de Tours jusqu’au sié- < de de Fulbert et à ceux qui lui sont pos- i térieuis, ne manquent point de rappor- t ter exactement les divers phénomènes j les signes dans le ciel, dans 4cs éléinens, dans les terres, dans les eaux et chacun s de ces signes selon eux, presageoit g quelque évéru^iuiit à venir, soit là- a choux ou accable 19* la Lettre 78* s semble supjmser le droit de l’Arche- I vèquede ReniLs ; et les Pairs de France a y sont désignes, sinon quant au nom, il du moins quant à la chose. n LU. Ou voit clairement par la Lettre à Léon Kvèjfue <k Verceil que Guillaume avoit accepté d<y bonne foi k les offres et les propositions des Ita- «  liens. Nous y découvrons aussi dans u le Latin quàm bmr rorigine de notre b mot François combien. n LUI. Hildegaire 1 en parlant du Prince Guillaume dans ses Lettres à n Fulbert repete plusieurs fois ces mots U le Comte Guillaume twtre ami. Nous C apprenons de là que les mœurs de ce te tems-là étoient trcssimples et que les «  nôtres n’en différent pas peu- tr L1V. la A ces liens et à cette si grande masse de fer lesquels se voyoient dans fe le Monastère de Conques, nous fai- M sons revenir la pénitence pour crime m de parricide. Jusqu’au xi siécle en effet ge subsistait ce genre de pénitence qu’on pc fàisoit t subir aux parricides on leur pc étreignoit les bras et le corps avec des pi Ya~ ~i’TU,’0`~,bu.vf~ s~~·tv· ~i’ .’°i~`.4Yib~°"é’%t~x~.r y °~ Y’Y’ ~rl~4·,Y,~k` ; ,Y~ .i ,F~i’ W,ÿ ;.a~~ ~(~~ ’4x. ,a~ .· 5. ~1 7k ; ~4 ! r "·< t y z ks ti. ~°~’an "rf 1t t~~z ~k w~ ~~arww, °~ r,,· wl · Y~` ,i 4~~ ’~r~ x · d ti· n5 à M :a’ ` I Nf. 4*1. :| 3 x » i i*m «m. WilMmi Com. Pictav. Ipfctob». J 483. a, ) Htldc.1Ia, ;Í Pktav. Scbolaatin Eptu*- le, ’iI«, 68t. m BfMrtol». P*f 493. h ex- «yM, mm ^m^dui sm < l ^̃ BÛ- H *mH*,mé fi* r*M»m M» -«s*. r*sp«*m* tm^émmmr tl*. I m- *r Epùt. S» coltigim* Beèm^ k, m. MM km tegrm vHmtiomiJkim +#“ t*r fm :l* «à» FmlUrtm pimvimm m, jfct xutyiùùs, çtm «mi mermm *immul- Ucrum, mmi luJeMU maturm un tffèctmm formant, vdmt c*- » me l^mitatU fijficx, pestOmtm re- cruvuùjue beUi certùsémum omen U ostemtat, ùt vertùiuu im ttmpora es. quibus criticm *rti* mmdum

?t, J prKiuctbat. Omnes enim ferè> à 

lié- Grtgorio = Turwtensi ad illam M- msqtm et posterions mtates, Hisyrtorim mutrm Scriptores pkmno- f » Jp»m p<usim et signa im ccclo, in is, elementis, in terris, in aquis t un superstitùuè rr/erunt qum ««-Dit gula ut ipsi putabant, Jbtturum aiiqucm eventum, sive invisum 1& sive gratum, prmtignfficabant ie- I90 m Epist. 78 jus Remensis p»,. m ; ce Arctilepiscopi videtur supponi ; 1 ibùjtic Francité Parts si minus nanti ne y rt saltem designantur.

?t- Ex Epistola ad Leonem Wiiw«i 

ne Epis&pum l’ercellensem patet SS^ Oi H’iUelmurir bona fide descendisse a- ad conditioner sibi àb Italis obtans tas. Ibidem ex Latino quàm p», hû. re |>ene, 1 natum videtur Galliçum J noitntm combien. lu LUI. Hildegarius ad Fulber- H ;uk*««i à tum de W’iUelmo Principe scri- ££• 4££ ïi betey non semel ait Guillelmus te

  • s Cou les amicus tuus. ffinè in- im

5e telligimm simplicissimos fuisse ÎS istitts sttatis mores à quibus nostri non parum mutati. if LïV. !• Ajdrbodias et tantam y is ferri massam, quxvidcbantur in K*imalmi- Monasterio Conchensi revocae mus parricidii panùentiam. Vi- p^. 483, ît gebat scilicet ad smeulum AI illud Q poeniteniim genus parricidis imir positum, ut rets brachia et corS pus loris ferreis constr’ingerentur