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fAMFATIO. ̃ h, P«*î 45«. Pag. 457. Piç. 458." dire autant ’des nummi et des deniers 5* nous apprenons dans la 22e que les avoient droit pour lors d’assister et d’être favorables aux ordinations des Evêques leurs- ooraprovinciaux. Il est évident aussi de là et d*ailleurs, que. nos Rois, quoiqu’ils permissent alors va liberté clés élections, désignoient les Evéques et les déclaraient tels, de leur plein pouvoir et de leur gré suprême sans la participation du Clergé ni du peuple 6" nous avons peu applaudi à liai oui us lorsqu’il infère de là Lettre à Abbon pag.. 443, que Fulbert fut Moitié et cela parce que nous ne voyons [joint le nom de Fulbert dans la protestation des Moines contre Magenard. et <|ue Fulbert ne se dit pas Moine parmi les Moines mais peut-être, comme ̃l’observe M. <Je/4"ouceinagne dans les re-^ marques Mss. qu’il nous a communiquées cet Annaliste eùt-il prouvé plus heureusement le Moi tachisme de Fulbert par les endroits où ce dernier appelle Odilon l’Archange des Moines et le sien, où comme iils il le traite de père, et se ,dit son serviteur, oit il H*r montre trcs-aireetionné à l’ordre Monastique y et fait connoître que > notre règle lui étoit familière 7° les Comtes de Chartres avoient le droit de nonimer aux Abbayes de leur Comté (8°/nous remarquons un usage &>o. 0 lié 8" nous rclllan¡UOIIS UII usa¡.¡c du tems,)lorsque nous lisons ’dans la Lettre 27, que C office divin se finit pitoyablement à rxtix basse et presque en silence. Or cet usage nous en remet en mémoire un autre dont nous |*arlons à la }>age 424 où Foulques Comte d’Angers, ayant violé le- droit sacré du cloître de S. Martin, incontinent les Chanoines ? déposant il terre les corps des Saint* >et le Crucifix mirent de$ épines sur le tombeau même du très-saffit Confesseur j et en entourèrent les éorps des Saints et le Crucifix. Outre cela tes portes de l’Eglise tout de suite furent, fermées jour et nuit et ne jurent ouvertes qu’aux I t Ph 485r ( > nibus suorum comprovincialium • Episcoporum. · Hinc etidm et P aliunde patei summo jure et • nutu à Regibus nostris etsi tUnc • temporis libéras pciçmittercnt • etectiones, désignâtes et renunr. ciatos fuisse Episêopos sine con> cursu Cteri et populi 6° Baronio ex Epistola ad Abbonem png. t 443 colligenti Fulbertum Mõ nachum fuisse, parùm favimus » eà quint ibi nec ctun Mfonachis réfutation* Magenardi subscripserit, nec se inter Monachos 1 Monachum dixerit Fulbertus. /i*~CtM~t< ut O~n’at /). 1 de Foncemagne in adnotationi~bus Mss. quas nobiscum commu• nicavit laudatus Annalista probasset MonachatUm Fulberti ex V locis, ubi Odilonem Monacho- ` rum et suum dicit Arcluxngelum filins eumdcm vocat pat rem suum se dicit ipsins servulurn Fulbert us (ibi Monastici ordinis stitdiosissimum se prodit, os tend itque régulant nos tram familiarem sibi fuisse 7° jus nominahdi ad Abbatias sui Constatas habebant^ Comités Carnotenscs 8° dunt in Vi Epist. 27 legimus oflicium di- P ; viiuim depréssis miscrahiliter vocibus et penè sileutio proxim is lieri us uni temporis notant us. Is autan usus in memoriam t /’( !Wa< aliu»t, de quo pab. ~2~ ubi, chm Fulco Antlegav. Cornes claustri b. Martini sacrum jus iHolass<’t Canonici protinus corpora Sanctorum et Crucilivum terrai déponentes super ipsum beatissitiii Confessons Martini sepulchmm et cirai oor|x>ra Sanclorum et Crucifixum spinas adpôsuerufit. ° Portae instiper Ecclesiae die ac nocte continuo clausae, castrensibus eam non inlrocun films. ( solis peregrinis patuere 9° p^