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ne lui priiiiriiiiV|itii iTiiôîi É<iii lit à.Vily’erode, pari» t» habtte Canoniste et il y pose de grands oa Fran- ’< çois principes, et en tire des conséquences qui ne Accordent pas du tout avec tes opinions connues et litigieuses des Romains. Il avojt dit autrefois 4e ceux-ci, L’Univers entier a en exécration les mœurs des Romains ; et ici » selon lui, Rome, regardée jusqu’alors comme la mère de toutes les Egiises > passe pour donner^ des malédictions aux gens de bien et des bénédictions aux méchans. Notfs aronsf peut-être sur une trop legere conjecture, rejette, d’après D. Rivet, la 107 Gerbertine au commencement du Pontificat de Silvestre II. Quoi qu’il en soit, cette exhortation au nom de Jérusalem ravagée, fit tant d’impression sur le cœur des Pisans comme l’enseigne le même D. Rivet, d’après le 3 Toni. des Ecrivains Italiens pag. 400 qu’ils se mirent aussi-tôt en merw et furent ainsi tes premiers croisés j_j»mlH£^lvestre II le premier prédicateur de UrCrjoisade. Le même Pape consulté par un Abbé, ne répond pas sur le champ, Êiute du secours de ses livres. Or il est de droit indubitable dans le Décret f de Gratien, que le Pontife Romain n’est soumis au jugement d’aucun boinme sur la terre, tandis que lui a droit de juger tous les autres ou de décider de tout, sans qu’il soit permis à personne de revoir ou de réformer un jugement Papal. C’est de cette persuasion, dit Balise, qu’est venu ce fameux et tivs-célébre apophthegmc de Bonifece VIII Le Pontife Romain est censé avoir en soi tous les droits. Cependant il est tacite de prouve ? par l’autorité de Silvestre 11 > que ce sentiment n’a pas été celui de tous les Papes. Car .si SUr 1 l*«K. 426. W t’a*. 4*7. MarceUin Àollr^àl^|^£ii^A^i^C odomus JucrU Gerbertms, tic* • rmùomem svbjktr» vemm mini- • mÀ posstt, -ftàtm^ mik inops t Juisse haud omninb dkendus m, $ Hune tammn sot nasutumynon • sinébant temporat qui Marceiiùd P*pm kistoriam fmbuUu* esse deprehenderet. Uno verbo Gcr~ r bertus virum Cammei juris péritissimnm agit in Epistolis ad Sic

guinum et niofiibiis Romanorum. De his

> olim dixerat, Roinanomm niot res mundus perhorrescit. Hu ̃ verb juxta ipsum Rotna, oni• uiuin Ecdesiarum hactenus habita mater, bonis utaledicere, i malis benedioere fertuf. Ger- i»«K. bertinam 107 levmri forsan ami jectura ducti unà cum Rivèto, re~jecimus ad initiutn Pontificat us • Sylvestri Ut ut est, futc ex ^^persona Hier usaient devastatm hortatio^eofiem Ri-veto docente I ex Tom. tytal^ Script, p. 400, t Pisanorum animos adeù moïnt i ut Hlicb mari se commiseftnuSic̃qite, ut Sjrlvester H primus betH^ sacri prmeo exstitisse censeru/us "7 est, Plsani Crucesignatorum antesignandi diçendi sunt. Consultas l’a^. j J i ab Abbatt Sflvester El, non statim respondet quia destilutus aiùcilh (ibromrn suorum Porro indàbitati juris <é*f in Décréta ’• Gratiard l Romanum Pontiâçem nullius mortalis hominis judmo sub/acere, ipsum autem /as habere de omnUuis jttdicanr/ neque ctdquaot licere dffjnx jtufi’