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Moines de S. Denis et leurs gens contre les Evêques ; car il est certain que cela fut fait par les Laïcs, à qui i) importait très-fQrl de s’assurer les ` dixmes. De même, au jugement de D. Mabillon Ahbon ne fut ptsJtué, par les Moines ; mais par leshabitans de la Réole, qui se portèrent au tumulte 4* nous avertissons que c’est à tort que l’on glose malicieusement sur le compte des Réoloises d’alors. • t chis csesus est Abbo sed à Régula inco, immeritb Regulensium tune temporis muliei XLV. Les Miracles de S. Benoît, outre un acte d investiture ou de mise en possession par le moyen des gants dont on trouve des exemptes çà ,et là dans les Auteurs, offrent un usage singulier. Car on y lit ces mots, entre les pots pour l’amour Su" Pcrc Benoit. La coutume transmise, jusqu’à < nous, de boire ensemble la veille de S. Martin tient encore de ces usages de^ boire en fli jnneur des Saints ; si )hept*iidaut ou honore par là ce5 derniers. De-là vinrent autrefois "ces invitatious de L>oire, faites aux noms de v S. Etienne des autres Saints, et même des Hois et de leurs fils ; que Charlemagne Hincmar et S. Augustin avant eux défendent. Ce qu’Aimoiu au même endroit jraconte d’un Moine qui invoquoit ainsi S. Benoit Ou je sotipronne que vous e’tcs endormi’ pour toidjours, ou quc, etc., se ressent bien de l’ignorance du siècle et nous ne sçavons si un pareil récit, fait par Un Moine touchant ses Confrères, pourra trouver créance, même parmi les Moines. XLVI. Je prie votre sublime Majesté dit ici le Comte Bouchard de daigner accorder à votre fidele serviteur F Eglise </« Afoncutère^Uès Fossez laquelle 1est soumise à votre puissance royale, et par oit être votre fisc. d quoi le Roi [Hugues] répond Comment pouvoir ~t : ,j’<i’.i~~J ;}<æi¡i’}i’ :}(f" ~1 l~ 1-J ~MMO P»«. 338. ̃ I »• EsLibcolI Miraculorum S. Benedkti. J i~8(~ ~4.

r ♦ .j I l Vita Uurchanli ( mif- *< I t». i ) ) f Hj i batibus benedicendis et Ecde^ l stis, pecuniae quaestus proflii gare confido ecce aurum quod t dedi in meo loceUo inlibatum habeq, 3* redarguimus illum à quo Abbo Monachos S. Dioi nysii et exteros familiarcs Ulõ rum contra Epijpepos concitasse L dicitur. Id enim factum. constat jq^ i t Laiçis y -quorum maxime intererat décimas sibi asserere. Sic Mabilionio judice, nonfà Monacolis tumultuantibus 4° motMtmuir,

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lierum morefmaligno dente carpi. XLV* P rester ritum investiï turse seu ’îradifiofiis per JVantos a y id est chirotechas qui passim ob1 vius est àpud Auctçres atiutn singularem nsum Miracttln S.

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? guntur verba hsec ̃̃, i nter ])ociita 

4n amore Patris Bcncdicli 2 sumpta. Ejustnodi prp’pinationcs S ijn Iton&rem Sanctorum si tnnicn l is honor estt hactenus rètinet mos compotandi in f>ervigilio S. Marfini ad nos usque traduciits. f/îne natse olim pot and i éonjurationes ̃ fier S. Stephanum aliosque SancC tos, imo et per lièges eorumque filios quod vetant Carnlus ^fag*e nus y Hincmorus et ante utntme que Augustinus. Quœ autant nari. rat ibidem Aimoinus df Monas cho S. Bencdictum sir appel/ante e Te aut perpetuo olxlormis.se

  • suspieor somno,aut, etc., ignorantiam

sxçtdi redolent rt à Alonacfio de MonacJùs script a q htec haud scimus an fidem sibi vel apud ipsosmet Monachos paraverint. XLVI. Oro inqtiit ibi Btire chardus "Cornes, ut Eeclesiam { r Fpssatensis Cœnobii, qua ? regali subdita est dominio vesf, terque fiscus fore vid^tur, mihi i w" servitutis vestrae obscyuiis par renti tua praecelsa MajesUis