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r**Ui$*am,« nominatùn in p» Srevi Chronieo S, Martini r«- eu ™P*g^èi sidUgùar ék Odo erat major ; sed quia stultus €rat, noiKfuit Rex. mis erat, uoïKfuit Rcx. £̃* XXriU. Parts habenmu ». Umpore* fiaèerti /fc-^r,’ fi am Jtoes esset adhibtnda horum Ge± torum Auctpri. Verum is.cwct f «^V» studio in Comités An’tegavenseJ, passim mentitur et Romancnses duntaxat fabulas, scribif.vlnde tamen variantes Leetiones adducimus, au* lutttd dis’. i>lw !,m,t BritoniJbus. De iis enim «gens Glaber sic toqmtur pag. |5.-A >mni prorsus urUinitatC’ va<"i, ’siiutque illi*. nu>res hictifti,

  • r lois ira et stulti ^militas.’

i’orro in Cvstis laudatis sic lcgi& > lllaruin mores >culti, sed f’-ili-s <oli, ac- leSis ira, sed to phicàbil^, mulUi/sed fa,«« ;«  tftrriilitas, rel fa<x*ta. ̃V.VAV. Apiui Codcllum <t ̃̃ alto, m .upulchro Cerberti inun’lantlalI«  l»nitt»ris effundente,. · mh,l vutcut Uth)r nisi .nattu-al** <JJ<ctus à superstitiosis ment Unis w signa miraculosa un prodigia versos. Dci,u{l. /a//lmtur quot_<l«ot vum evdem Srrîptore tra-’tant, Fuibertnm fuis** Robcrti i fogi* Cancillarium. j W.Y. In hw Instrument 1 Sl*’mm "o<««"- Vox Domiui. c Campanu igitur ut jam nota- I nmus9 nomina tune erant indi- p ta. Ibidem Fulco Andegavensis n Cornes, dum ti incensione castri Mmuriensis a se patrata clamât, ié S. rlorenti, sine te concremari, rc iiiehoreiii enim Audegavis tibi vc habilationcin exstruam morum te seu religions sm W speciern diculam offert rto -0) i ’f 1 ~~7J.r. v o Kl G«* Comnlor .Ami*»*. ¡’ i "» P«<t. Î.V>. } J K* Œrt>m (} nkxt Wiijr-Imi (toitelli (i ~

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E» ll»toria ,r/V i«»«mi S f tti S<). <~ (, tmr. s TU Ita. Cot S<li S. V iee nie hal seu Chronique de S. Martin ^e [Tour, p*g. 225, ou i ! est-ainsi écrit : Budes étoit Tainé ; mais parce que <* M#* é*M,Uhtf,4ipastiai, i ^XYHI. Nous aurions des Pairs y«« autemsdu.Roi Robert si fon pouul ^elqUef0^SUI)« ;sG«^. «*> Malheureusement celui qui les a écrits, "»- trop passionné pour les Comtes d’An«  jou, ment continuellement et ne <<K rapporte que* des fables romanesques. ec- l~ous, ell tiroils’l’ cependant dfS ,’arian :. £ flous en tin»* -cependant des varias tes qui ne-déplairbnt pas aux Bretons. °labe ;/ r en *̃*̃ ces derniers •>•’ P"K- 15, dit : Ils n’ont Aucune politesse a- et leurs mœurs sont grossières leur coU> lere CSt f>romP<« > < leur babil est extray*fr»t. Or dans les Gestes eh question on lit t (le cette, façon : leurs mœurs 1 <1 sont grossières, mais faciles a èultiivr • d f™r’coIcreS*ramm*aùéme»t,mai,.ils ̃ ,corrt facilcs ~i nppaiser dans l~ momnrtt ; W est çrarul, mais sot Ou plaisant. •t AXJX. Ce qUe Godel et d’autres disent de la. tombe de Gcrbçrt/laquelle se trouve* inondée par-la sueur » qu. ni œulpit, doit être regardé par r If Ux tecir œinme des efets natuivls » que des esprits suj«rstiticux ont œn^vertis en. signes iniraculeux ou prodigwv.Dc plus, tous ceux qui prétendent. avec le même Ecrivain que • Fulbert a été Chancelier dit Roi Robert se trompent. Ô®iX. Nous apprenons ?ci qu’une Cloché S’appelloit La voix du Seigneur Les cloches portoient donc des noms Pour lors comme nous l’avons déjà remarqué. Foulques, Comte d’Anjou nous^ donne dans la même pièce une idée grotesque des mœurs ou de la religion de- son teins, lorsque nous l’y voyons pendant l’embrasement du château de Saumur, dont il étoit auteur S ecner S. F lofent laissez- vous brûler notts vous construirons une plus belle fie’,meure à Angers.