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1 lv~~a ~4~ ~ â ̃^m. Pag.. 247. ’| -i ~9,914 i II, e iij bert’i %non pour accréditer aucune niamer^ de pareils contes ; mats pour ne laisser rien, soit frai sojit feux à ̃ désirer au Lecteur sur le compte d’un < aussi grand personnage lequel est le* premier. François qui soit monté sur’ la Chaire de S. Pieife. Par parenthèse il n’est pas étonnant que {*erÊert* qui fàisoit une {grande étude dllf ^thématiques ait été niai famé : anciennement on mettQit pour Pordinàirç les Mathématiciens et les /Magiciens sur la mêmfc ligne. Guillaume’, -sujet à se troui|)er en plusieurs endroits, cl adonné aux fables, a peut -être dit vrai en parlanj de l’horloge fait par art méchanique et des- orgues’ hydrauliques de (ierbert. Le même nous offre un singulier exemple des mœurs du xi siècle si cependant il ne nous en donne pas à garder, lorsqu’il raconte de Richard 11 Dur de Normandie, ce qui suit : On diCque les nuits se dérobant à y la garde de ses domestiques y il a voit coutume d’aller aux Matines des Moines sans élire ac– compagne. Ce que pratiquant sur-tout à J^écan une certaine nuit, iL s’acltcm’ina tic trop bonne heure et ayant trouvé la porte fermée il fit *avec violence sauter le verrouil ce qui éveilla le Sacristain. Celui-ci. piqué vivement,’ le prend ouj*. chrveux lui donne pêusieurs coups de poings le ^Prince endure cela ax*ec une .patience incroyable sans 1 daigner Richard ordonna au Moine de le venir trottvcr à Argentan. lui pardonna et attaefui à son office de Sacristain tout ce bburgy qu’on dit. pro-duire de très-bon vin avec ses dépendances déclarant que c’était un tret-bon Moine,, lequel gardant bien son poste, nawit point rompu le silence quoique transporté, de colère. Guillaume enfin fort peu au fait de nos affaires, donne làussement au Hoi Robert pour- fils aîné Eudes, lequel étoit hébété. La même erreur se trouveaussi relevée ailleurs et notamment dans la courte e ’ :¡i"e~ .t8I :J" lia tr flr aliqmod addammï ; std ut à à Lectore miku shx vêrum sive fola Jnu* detidereiur d* tatUo virot s e qui è. GaUis pripws Summi Pon~ r tifieatât apkem obtinuit. Non r mirum^Jràtnm quod Mathe-y maticis stùdiis" pùtrimum deditus f. malè au4jprit Gtrbtrtus cum L- Mathemalici w eodem loèo àtque e Magi ab ^ntiquis mm rarb habili

’tint. PlurïBSs^alii* in lacis Çuit 

lielmus, mens&aç €t fabulis adty «Hchu, veritatem forte attigit in •e Gerberti horologio art* mecàajt nica compesito et ù* orgams S hydraulicis. ’/dem, si tamen vera ie !*fcrtt singulart morum steculi ss Xi exemplum offert dum de /îiil chardo II Duce Normannijc sic >- narrât Fertur quod noctibus Pi le custodias famulorum follens re jncomitatiis ad Matutinas Monachorum veuire solitus fue•’• rit. Id praesertiin apud Fiscaw ^nuiii exeroens quadanr noetc « maturiùs se agebat ; qiïni(]ue > iUvenisset ostiunx otiseratum tt excusso violcntiùs pessulo, soporem Sacristae turbavit. Ille. te vehémenti felle oommotUs criuciii invadit, multos illuslri t- viro colaphos infriiigcns dure rat ille t incredibili patientia rs t rrmtrrc digrratus. M w nec niUtire dignatus. Monâchuin ad vicum Argentias sibi praecepit occuiTere. abte sol vit, totutiique vicum illuin, >- qui optimi vini ferax.esse dicitur, cum appendiliis suis ofTin cio ejusdeni Sacristas addivit, profiuncians optimum esse Mote nachum qui bene custodiens munus injunctum nec percie tus ira laxaverit silentium. Guis lielmus denique in rébus nostris A peregrinus 9 perperàm tradii, [- Odonem, qui hebes erët natu p te majorem fuisse filium Robert i