Page:Bouquet - Recueil des Historiens des Gaules et de la France, 10.djvu/38

Cette page n’a pas encore été corrigée

PRMFATW, mjrç /ome A. e la mort du Duc Charles à l’année 991 mais ils suivent a*lo ?s l’ancien calcul ; car il est prouve" par des Chartes «jut Charles vivoit encore en 992, y selon la manière dfc compter d’aujourd’hui. Les bruits fabuleux de nigromancic sur le rompu* de Gerbert, dont parle notre Auteur, et dont un sot vulgaire par oisiveté ou par ignorance, aime tant à m- ’repaître, prendront accroissement a mesure que nous avancerons. Cej>endaiit Gerbcrl a été’ tenu jxwr un «jrand homme, et a été loué comme tel par les Ecrivains de sou teins. "Mais il n’est li surprenant ni nouveau, dit le I*. Mabillon, que les* personnages d’un rare mérite soient en bute aux traits de l’envie. Ce que Si^eU-rt et d’autres rapportent du jour des Morts institué par S. Odilou au lendemain de la Toussaint n’empêche pas que dans quelques Monastères de notre Ordre la ( Commémoration «les Trépasses Y»ait «le dt ;jà reçue aant le saint Vbbc, mais à un autre jour. Wll. inoul de Itciius (st traite ici favorablement « qui m> (|{,jt J(as surprendre ; car Hugues. Vuteur de cet Ecrit éloit Moine ,1e l’Ieuri et Ablmii Ab !>é du mèm>c Monastère, aoit été le déleuseur d’Vrnoul, de l’a flaire duquel cImcuii parloit selon qu’il éloit all’ccté. XUI. Dans une interpolation de cette Chronique il est dit t|e Hotfer (ils de Kodulfe Comte Normand épousa Stéphanie, Meur de Kamond-Beren<rer. Delà on p<ut rélutei. Halu/e. <(ui d’un endroit d* tlemar conjecture que celle-ci éloit Papie la.nielle futtemine, non ̃ de Rotfer niais’ dn Duc Hichard même Papie (’-N.it so-ur d’Osbrrnc ot iI’Aiksfroi : or il est constant que ces dm frères étoient de nobles Neustrasieus. l. (a.1 Chroniqueur fait meubon d’un duo| sanglant lequel eut t tem Caroli Ducis collocant in I anno 991 sed intérim veterem le eomputandi modttm profècto se»ïl quuntur. Carolum enim it vivis i. adhuc fuisse anno 992, habité ie -ca/euh hodiemi ratione, probatur le ex Chartis. Fabulosa Gerbenirue nigromantùe fama cujus mentiie nit s/uctor nostery et <]uam vuli^i r fatui inertia seu ignorantia mi». serè amat eurido magù ac mair F* rires ncquiret. Ab lequalibtis i- autern tevi sut Seriptoribus prv ï. magno viro habitas laudatusque est (ierbertus sed non mit uni nec no vum int/uit fabitlonius • t’ e.reellentes viros invidia faborarr. t Ouurf autem Sip-bertus ot ttiii s rtftriifit de mémo n’a DefunctoI nmi à S. Otlilonr instituto pus tri t’ ’<> solvmnitati. Omnium Sancr forum ul non obstat (ji/ominu /h •Junrtorum Commrtnorutio iti t nonnullix Onjinix nostri !/<> sttnis,uri afin die, jarn ̃ nnti O’iihmcm reerpta fin rit. ll. /Uni <iti//it if’i nul fus Ilrmrnsis. mirum • j(’IIU’II,I’ ,t’ 1’1 ;1 hujiis <mnt Xrrpti hwtor f{up>% /̃ toi kic( nsi. ii <it ionachu. et -ihbo tjustlcm Monasteni .>bas, </<( rtu>r furrat .j/u/f/, ,1, f cujus ncitoti,» ut (fui^qur (,ff,,tn,s erut sic loiptebatùr.. WJIi. In interpolât iortc /tujus ( ’/iront’ ci lù^triw, 1’ lindu/Ji (>mitix oi manni j «/ •• citur u.voniri (icc<pi<> o-urci>> il/iYHiundi /ici en far ii .V/i p/t<tnia /n. //in< refrlli potc.st lUilusms nui ex Idcmtiro pair’. ] .y ; ronjityt //une > fui s m- punn • ipiam non Jiogeriu, sed lîtc/nndus ipse Dux in conjurent <iu,tit. Papia sortir < rat (kh< rni et lusfredi r/no nohi/cs c cu.strafio fuisse constat N î J2_S Hijcrt 1 ( ’/irvinil ;iiiphus is, crue/iturn ducl/unt coram’ t bUc. Monachi Chranico. "»• iHi. •’»« in. Kv<.llf,.(ii. H..Ko.,i, II, ii.ii.u-s M, II. M II. I x t r, «» S IVi.i

¡ 
~.t.

K r.ljruo Sa(ini-