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dm passage de Sigebert i qui donne I entendit à l’année 980 que Lotnaine renonça alors par serment à son v àtwt sur la Lorraine, sans aucune ié> y serve. Nous avons jugé à propos de mettre sous les jrèux une ou deux élections d’Evéques, sans oublier le bâton pastoral et l’anneau, lesquels feront bien du bruit, et occasionneront de t grands troubles et de. grands malheurs < sous tes Rois ou les Empereurs sui- i ~ans ; afin que le lecteur François apprenne, au moins par analogie < de Ditmar, quoiqu’Auteur étranger, < ce qui étoit d’usage, et ce, qui se pra- è tiquoît dans ces sortes d’élections. J Nous avons traité à peu près de même < celles des Rois, et no*s sommes dans /= la persuasion qu’on nous en sçauragré. r Enfin nous avons inarqué les duels un exemple singulier de Confession a t · l’horloge de Gerbert,- et le tuyau dont q il se servoit ]x>ur observer l’étoile jk> «  laire, Téta t de l’Astronomie, et d’au- «  très choses. VI. Alpert, qui, comme nous le disons entrautres choses à la page 138 ù florissoit au commencement du xi i* siècle, a suivi le génie des Historiens S de ce tems-là, lesquels presque tous o, sont attentifs à marquer les phénome- m tes .qui ’paraissaient «dans jajr. Carii m aeparle de ces eiïets de ia nature que A suivant les préjugés dîme mauvaise a. astrologie, en les donnant j>our des «pronostics assurés de calamités publi- pi qnes, de famine, de .mortalité, de cr guerres sauglaiites. Nous apprenons os du même Auteur, parlante de la ré rr bellifii des Bourguignons, que la regie te. constante de ces peuples est d’avoir pour j* Roi celui qu’ils élisent et établis*ent^*ux- ut ’«.. Maïs il a besoin d’un garant eli lorsque’ pour relever Othon, il dépri- fi me LoUjaire. Nou^ aurions dû faire fa la même remarque touchant Ditmar. hh Ce que rapporte Afpert du crime de en leze-majesté de Diederic I, Evèque p’et de Metz, joint aux trahisons d’Amoui M* srt, qui donne f«Mâ r*ihmrimm «.-Ex Alperti Monachi S. Simphoriani Met. Libello de Dîrenitat* twnporum. P~.<39. J «ne tmt Uthmrimm tèm om*i suo 10- juri m LotAuringùun jummcMo son renuntiasse. Cm* u <lftB^m i Pé- Epûcoporum «ketioncs rtprwsende tandm etm duxim*s, kamd prmfeo termiuis bacu/o et aruutlo pasloiton ruiibus, fui magnas sub Régi. X»nt bus w/ sequentibus ïmpemtoribus de proceUas et tragasduu nwmbunt ïUTS u* Damaro y quamquam AuSuif tore Gcrmano, # Lector GaUus nois saltem per analogiamt intelligat fie, qui tune temporis usus obtinuerit,

  • r et quis modus fuerit habitas M «fl,ragendis

Antisthibus. SintUe quid ~ns. sublimandorum ratione Regum me exsecuti sumus, et in eo nos operm ans pretium fecisse cqnfulimus. 0*.pré. nique notavimus duelta, Conte fessionis singutare exemptant ut a Gcrberti horohgium t et tu/mm ont quo ad speculandunt poli sidus |K> utebatur, Astronomie statum, et 111- alia. le /7. Alpertus qui, ut dicirnus Ex », inter alia pag. 138, jlorcbat xi initia siecidi A7, induisit genia c •̃ "de Dit MIS àcnptorum sui sévi, qui ferè tcl*P«  ~US omnes apparent ia in ? ceelo phteienomena sedulo notant, fixe enim (il naturse effecta non commémorât ue Alpertus, nisi ut ea ad mânes ise aslrologiœ visiones Vrevocet r et tes unum quodque velut calamitatis 11- publkm fajnis mortalitatis de cruentique belli certissimurn omen ns ostentet. Ex codent A tu-tare de -é- rrbellibus Burgundioniïus agw-~ rie te discimus, 1 legem ha lie per- Pag. ur petuani Burgundionuià <>sse .t- ut Regem haberent queni îpsi ut élurent atque e constituèrent. ï- ode autem imliget dum ut rc faveat Othoni Lotbario detrar. Ait-, Idem u/e Ditmafo nolandum le erat. Quod refert Jlpertus- de le perduellione Denderici l Episcûpi Y Mcttensis proditionibus Arnulfi