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t<t~J~t~ ~M*i.Ë~ l t ~w !vax .rw aw, i x i : ’7". .ar :5~ ih.. y. .Y.~ ~4,~ ’~Na ..b ·r~ ,lc,. ~~i~ ii. ..6w. · ` ?i`~, J, "B : e, .$, W hm$ *•• tel grandes obligttkn» qoe nous «Vooa à Pilhutre Académicien M. 1% Curae de Sainte ffetije dan* cette édition, Mait d’autre part nous obscrton», »1* a» mois diieJgaud < Vjron ttftwfr* maûojt. étoitïorti» ffta» Ut) ; lesquels petweaf feroriser le senj) titfwent de M. le Gendre de S. Aubin, qii ï &ft descendre Robert le Fort, par AnspranH Roi de Lorabardie de la famille royale d<* Lombards : .quoique d’autres, comme Valois dans ses Notes imprimées ci-dessus, aiment mieirç entendre ces mêmes paroles, d’Adélaïde mère du Roi Robert ^Terreur de Leutheric Archevêque de riens, qui ne pensait pas bien touchant tr Seigneur, ou qui attribuoit à la Divinité les souffrances du corps, et qui potir certaines càfrses routait éprou- < ver ou examiner ffans*Jc wrps et le sang ] He A- S’J- c- Leutheric a-t-il donc «  douté c^la présence réelle du cx>rps j ] île notre Seigneur dans rKiicliarïstic ; «  et doit-ou aller chercher là rori{,niie i de l’hérésie de Bi^rtMiger comme sein- i ble le oonjectiircr l’Auteur de PHis- f loii-e de rUniversilé de Paris ? Quel- i dues Ecrivains, du uoinlire desquels 1 est Mezerai sont dans cette opinion i mais d’autres, en bien plus ^rand nombre, pensent le contraire. Peut-être terminerons -nous ce diflërend, ! en «  disant que Leutheric crovoit que le n corps de J. C. ’ti-étoit présent dans «  l’Kucharistie que pour ceux qui corn- e. tuunioient di^Mcmcnt, comme le prou- u vent ces paroles, dont le Prélat usoit h Itérerez 7>o«j fîtes d igné «le sorte Cl q«11 nipit en un sens la préÉence réelle ti e’i-st pourquoi, le Roi Roltert’ le reprit Il vivement et t’obligea de se corri^r ^i sur ce |K»int. Remarquez en passant > dt «jue la formule dont oit se servoit au te xi siœle pour administrer PEueha- r/ ristie [(Jue le corps de A’. S. J. C. rx>us nt soit le salut de l’ame et du corps], étoit ar un peu différente de celle qui est au- ai jourdhui en usage : 3* la superstition :’̃/«  n, ; fl#e h» 4

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g* p*r sinsfrnmdum Regem rds dtdœit quanqutm miii, ut Fadans itmùu m Aotû suprà editis, fuec nent mdem verb* de Adélaïde Bo~les berti Régis maire volunt intelert · Ugi 2 ? errorem Ltotkerid Ar~ jque chiepUcopt Senon. de Domino p*. totê- no» bene sentientis, s«u Diit à vinitati^ attribuentis serumnas f, et corporis et quaereutis pit> rou- quibusdam causis probatio^ng nem, seu examinationem in tonc corpore et sanguine Domiui >rps N. J. C. An igitur Leothrnitie i eus dubitavit de veritaîe corporis ,nne Domini in Eucharhtia et an eill- imlc sumi débet uordium hxlisreteos âerengarii ,̃ ut ctmj’icere jet- videtur Auetor Historim Uninels iwsitatis) Parisiensis ? Quidam, On ; inter quos Mezerxus sfc opi>tllnantur alii vero contra senître tiunt muitè plurcs. Utem dirien memus forsan hue modo V Existiy. le mafmt Lpothericus corpus Chri.yti ans m Eucharisùa verè prmsens ad- •m- ««" tant h m digne sumentibus m- ut proballt wrba quibus ut<>it, batur, h*c 1 Si diguus es ac•rte cipe ; i sicque aliquatenus prmscnle tiam realem toUebat qua de re »rit Robert us Rcjc tunt grariter ar£er guit a eumdcmquc ad corrigeait > dtiyi factum adducit. JSata in±au terim, formulam ssecit/i Xf Eu-

!îa- rhrari,stic~a.ï~ ( Corpus’ I}.nnini 

ia- charisticam ( Corpus Dornini >«J nostri Jcsu Qiri5ti sit tibi sa lus oit aiiinue et oorpori^ non nihil tu- ab ea, qwe nunc &st in tisu, on fuisse discrepantem *• 30 superstic ii