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cboaet rare* qu’offre Adalberon dao* aon Poème, nous produisons «ci du vers 09, Que le Procureur 4m &», qui a FmdmùtUtmtum du temporel ; quoiqu’il ne soit pat aisé de dira, qui le Poète a voulu désigner par le nom de.. Procureur du /toi. M. Valoif avoue qu’il ne peut le deviner : et cependant un peu aprçs il imagine que Procureur du Rot signifie là Procureur du fisc, de même i|ue plus bas Us gardien* des Hmmbrcs «ont des valets de chambre. Cest a ceux qui dans cette Initie aussi bien que dans d’autres sont plus ha lu Us que nous, à voir si cette conjecture est Juste. Nous n’étendrons jM>int davantage le présent article si quelqu’un est curieux d’avoir de plus amples mémoires tant sur l’Auteur Adalheron, que sur le P<»éiiie même les teins de sa eoni|M>sition el «le sou édition, il n’a ,jU’â «*>nMilter notre Avertissement jkijjc (il, t’1 les Notes de Valois pa^es 7 ;i et «t. Nous avons conservé dans cvs dernières uon-smletueut tout e<* quVIl «*s ont t d’utile, niais choux» <x« qui s trouve de superflu seulemeut nous nous contentons d’y relever quelque- t fois le Outim<>utiih’iii sur-Unit lors- i «lu’il voit trop sou eut ce~u qu’il n’ai- i nu’ pas, et qu’il uViKii^ne point assez Odilon inèiiie, lojucl ptuir s.-i grande ssiiutctc <>t traité drcuaii-e |iar FulIhiI entiautrcs. Adalbcron à la vérité a mais par une license plus que }»octiqur. III. A la suite des vers- «fAdauVron >«<’nt a projms un Rytiiuie d’un Vu- n leur iiimnuu ou une prose caden- -i nr et souvcMit riniée même a l’hc- a inistiehe. Cette satyre, en effet roule a sur a- qui se passoit alors en Fiance, jri sur-tout à la Cour, sous le rv&w du su Ixoi HoIhtI : elle est luènu" eno»ie t,, pins ciiy^ina tique ou allégorique el ai plus mordante que le Poème d Adal- .qi beron. 1). Maluilon, cir|Hibliant cette A* puVe, a employé toute sa fet<*arité dans pt les Notes que nous représentons mais M

• hMFATIO. • ̃̃̃̃.•̃̃̃ : ’i^py^l fôe Àdalberpn dan* «*««« fit Aide. Ift nimm^ IWthrou* Auonymi i S,ntyrM-«i» de (cm|toribu* KobcrtJ Reg. s uu vertum m km, Ut procuimlor du Rcgis muniiaM miniui^nt t*i Um$ qwm émgm* Poiu, & Oâ- dJctu fmdl* m dJvùmre se mm te ,J»m fautur ip» nfaiu, ; qui de^tgmen suspieatur pauib fait, Proue curatorenî Régis Aie esse Prosn- cumtorem Jbd, ut ùt/rà cuatc* ̃o- des thalamorum, sumt Cubicudu font, tltrum autemjiet rectè •r» Ame conjecture, vfium/U viri node bit in hoc parut et m uliis péri»te tiores, Atque eb loei de hù Leent t tores duntaxat monitos ixdumus. te Qui verô studuerint pfura scirc I- cùm de Auctore seu Adalberone, i- qui* obut tantùm anno 1030, t ijr tu m de ipso Carminé, et de httjùs ir tempore et editionc, adeont Momie tum nmtrutn pag. 64 et Notas n t’alesu pagg. 73 et 74. In his l- non soiiun quidqfùd utilf, ,ed y rtiam sufH-riHicitum • conservavi- •t mus ; interdum redarguentes Ittu•s datum .in notât un- m mti.nnu et) m. sicpiùs qtios non a mat vitù’t^ li nec sat /H-nj’iffU’ agit cum ipso s Odihtw, quem Aix’hangeli à nomine oh eximiam samtitaUm Fulbert us )nter a/ios mtutat. i- Exempta quidtm ipxi fa/isiv e prirhrrat ddatltcro, sed poetu-a

? plus qtutm usua, tirent ’ta. 

c r a voit donné l’exemple à Valois Jtlalbcronis rmulos cornmode exeifiit flrthtuus ineerti s^" .luctoru, mu prosa numerU suis l<ml

  1. • Ilobc

attstneta, stepr etiam ad hemistt- g<«  rhium et in fine rcrsth codent sytlabarum sono trrminàta. crsntur enim /utv Satyra in iis qtue tum */f Francia, pneserlini in oui» Moberti Régis, gerebantur .qwn et referta magU xnigmatibus

  • ivc atlegoriis est, ipsitquc

prtemisso carminé acrior. Editlit Mabillonins magno ingvmi <uu-