xxxiv PHASFATIO. Lud<> r. Imp. Eptsto-
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Virinri, EputoU-S d’Italie, il ne l’avoit ni vue ni totichée et il donne un démenti à quiconque dira le contraire. Dans la troisième qui est adressée au P. Adrien, « il se plaint de ce qu’il est rejetté du S. Siège. Dans la quatrième il ordonne à Adon Archev. de Vienne d’ordonner Bernaire qu’il avoit nommé à l’Evèché de Grenoble. XXXV. L’EmjK’ïeur Louis dans la première Lettre avertit Adon Archevêque de Vienne d’obéir au Roi Lothaire 1 et d’ordonner Bernaire Evèque de Grenoble. Dans la seconde il se moque de l’Empereur Basile, qui l’avoit exhorte à s’abstenir du nom d’Auguste. Outre cela il parle de ses victoires il dit qu’il avoit réduit Bari qu’il avoit humilié les Surrazins de Tarente et de la Ca labre et qu’il les auroit écrasés entièrement, si on les avoit empêchés de tirer des vivres et des troupes de la mer. C’est pourquoi il prie l’Empereur Basile de vouloir bien envoier une flotte pour empêcher tes Sarrazins de faire venir des vivres par mer. Il ajoute qu’après qu’il aura soumis ta Ca labre il a envie de rendre la lil>erté a la Sicile. XXXVI. La première Lettre, qui est la dernière entre celles d’Egiuhard n’est pas de lui. Doni Mabillon cependant la lui attribue et il croit que l’Impératrice Hermengarde à qui ejle est écrite est la femme de Louis le Débonnaire. Mais Doni Liron au Tome premier de l’Ouvrage qui a pour litre, Singularités Historiques et Litrraircs prouve par des argumens invincibles que cette Lettre n’est pas d’Eginhard mais d’un Seigneur François qui avoit été attaché a Louis le Débonnaire et qui après sa mort favorisoit le parti de Charlo te Chauve. Il pense qu’elle est adressée à Henneuganle femme de l’Empereur Lothaire, et qu’il s agit de la (lissension qui étoit entre les fils de contrariant dixerit eum mendacii arguit. In tertia qux Adriano P. inscribitur dolet se à sancta Sede repelli. In quarta A ’doni Archiep. Viennemi preecipit ut Bernarium à se Gratianopolitanum Episcopum electum urdinet. .Y.V.Y/ Lttdovicus Imper, in prima Epi s toi a Adonern lien. Archiep. monet ut Lothario Régi obediat et Bernarium in Episeopum Oratianop. ordinet. In sec u rida lia.ii h uni Imper. qui eum hortattis t’ucrat ut ii nornine .luifusti abstint irridet. Pnvtereà de MtLi }’htorti.i hy/nitur aittjue fiariurn à >e deneiam et Sai raceruhs Tarenti ac ( alahruv <i se depressos ne peru tus < ont rit uni in .w à mari profuhiti t’uissent euas et milites su.ieipert (Juapntpter lia.iilium Imper, rv^at ut elassem //u.e Sarraeeno ah tieeipiendii alimenti.i à mari eitereeat mittere relit. Addit u ( dlahria expugnata Sieiliarn Itheitati restiti, -e in mente hahere, A f /’rima Epistola <{it ;e inter E^irdiardianas ultimu
- t l’.ifinhiirdi non est. l’am tamen
Eginhardo trihuit MalnlloniiiA Lih. 28 Annal. Bened. um. 4 H pu tatoue Ilermengardcm fmperutriet m eut .cripta est iuurern essr Ludovivi PU. f’erùrn Dornniis Lirontus Torno priant Opens eut titulus est singularia Histnrica et Literaria invictis prohat arçumentis /tarie Epistalam friïtnbardi non esse sed cuiusdam e.r Optimatihus Iraneorum qui f,f/o7ico f’io semper adhat’serat et ijui pot ejus mvrtvnt Caroli (al vi [><irtihit< feivehnt Illam insmpttirn putut Hrrmengardi Ixttharti Imper, eon/u^i ihique agi
