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xxxij PUMFA TIO. n· 1 A 1 11 Ail. (jni lum C K[.i «toi». nititur Carolus. Ipse Advcntius Xicolao scripsit Epistolam qua pur^ans se de causa Lothani acx quicsct re se ac obsequi testatur statutis à sumnio Pontijicc in Synodo liomana an. 8(J3 atipie veniam et paient implorât, In aliis Fptstolis a fit Carolus de l uljado et Fbf’O/tC. V V Ml. In Fpistola iv lhiieus Monaeliiis S. (ii i iiiani Au tissiod pncclara tii/e serdut de ( an>!<> (<ilvn Milita SUIlt inquit ln.r iiioiiumenta elementi.c, mulI.t >iul>ola pietatis. Illud vel maimc olus .eteruain parât II K I I II II l.llll. <|l|l>(l I, llll.lt I » 1 1 1 1 1 .l I est ri ( !»tr(»li >tutlmm ci^a imuioitaU> (lixijilinas non modo t’X ,i-(jiio rcpi.rsciit.tti.s mi uni rtiiini inn Mii| («irai >ili li’ivoif (taux vmliti» iliini <(iiod illc .sopltl> i’dlllt ( IIU’I 1 1 U I > VO.s loinciilo nmltiplici hiin Ihiu’Ii(Khhiii, t uni .ni* tont.it i> um|iicijU.M|tlc ploNtliills. Ih’indi t uni Luiiin ! <ju<ir/, utithi tt i raruin f/oittint riui^i ^t r t (irttnin /n> dd pu’•iuant < rudituuu m nr undt iiiuiiiiu i (>n- 1 ’ai at <t (jitod ne tju/i/i/n l>cl–hjriif/ ! ttinnott tu <(> di f< rhtuTit litirditini ardur l’ tt t niran i t ;i ut 1 inriitM ocitctiir Srhola l’alatiuui cujiis ajuA ni n minus S Ih >|.ii il »ii> ijuarn militai ilni.s (ou>uixit tjuotidir dixipliiiis. l’inn .nmludit I/rri<it. (Juidi niiil i^itur Litlrr.r possunt, « jiiitli jtiiit a.s.N4’<|uuiitur ingénia, vohis dt1ImmiI. Ii r /putofit r, iju.v tst .Imistn•>u Hd’imtlit i (tni liquit fux tiinpon nt>iinnllo, Pn>/n mii/h AnnpaUttiitn ii Par im< //m Fpiscupo ditm.u>t f ei rtc Johannes Seotu.s liililiiim Mtt/uidii, /natta mi, Chnrle tache d’appaiser l’esprit du P. Nicolas qui étoit fort irrité contre Advence. Advcuce lui niènie écrivit une Lettre à Nicolas, se disculpant au sujet de l’affaire de Lothaire ; il proteste qu’il acquiesce et obéit à tout ce que le Souverain Pontife avoit réglé dans le Gmcile Romain de 8(>3 il demande pardon et prie qu’on lui accorde la paiv. Cliarledans les autres Lettres parle de Vulfadetd’Ebbon. X. Dans la iv LtAtre Heric. Moine de saint Germain ( d’Auxerre dit des choses magnifiques de Chaiie le Chauve en ces termes > <l > <btil beaucoup de nionuntens de votre cientenec beaucoup de marques de votre pu te. Mais « qui principalement éternise votre mémoire c’e.»t que non-seulement voit.* imites parfaitement le zèle <pie ( barb votre i :eul avoit pour les beaux arts, mais que meute vous le surpassés de beaucoup par votre ferveur incomparable tandis que « que votre ayeul a tiré cornu r de </is.ons la cendre, vous retendes au loin, tt /le fomentés par ras bienfaits et votre autorité. [ te loue ensuite de ce que, s’ v a d’habiles Professeurs dans quelque endroit du monde, il les mande et les ^a^e pour l’instruction du publi/ ; et de ce que même en teins de guerre son amour et son zèle pour les Lettres ne se sont pas ralentis ensorte (/ne c’est it justi titre que l’on donne le nom (Ciiole au l’alais dont les principaux Seigneurs ne s’aecoutumi nt pas moins t )us /es jours aux exercices de f/Co/c qu’aux militaires. Après Heric COliclud Tout ee que donc les lA’ttrts peuvent tout ce ijui les esprits acquièrent ils vous en sont rede vttbles Par Pupitre v qui est dWnastase le Bibliothécaire il est «vident que dans ce tems là quelques-uns distinguoient Denis l*Aréopayïte de l’Kvèque de Paris. Lu cllèt l’opinion d’Ililduin «le Méthode dWnastase d’iiincmar