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siècle, dont le bienfait si considérable, qui n’avait eu d’autre mobile que la charité, remis en lumière et comme rajeuni par la publicité, obtient ainsi après tant d’années sa récompense temporelle, sans préjudice de l’autre bien autrement précieuse et qu’ont reçue dès longtemps sans doute Geoffroy et Marie.


FIN DU PREMIER VOLUME.