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En terminant, nous dirons avec un vieil auteur[1] :

« Et supplie et requière tant humblement que je puis, à tous ceux qui le verront et orront, que si aucune chose y a digne de répréhension ou correction, il leur plaise, en suppléant à mon ignorance, de moi avoir et tenir pour excusé, attendu que ce qui par moi a été fait, dit et rédigé par écrit, l’ai fait le mieux et le plus véritablement que j’ai pu et sans aucune faveur, pour recordation et mémoire de choses dessus dites. »

  1. Lefèvre de Saint-Remy : Mémoires, de 1407 à 1435.