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qui lui savaient infiniment de gré d'un voyage qu'il avait fait en France pour perfectionner ses principes de galanterie et en assurer le triomphe auprès du beau sexe. En effet, il l'avait mis à profit. Observateur attentif de nos aimables Céladons, ou plutôt de nos adorables roués, il avait eu le talent d'en saisir le ton, les manières et les maximes ; on le donnait pour modèle à tous les jeunes seigneurs Napolitains. Les cercles retentissaient de son éloge ; on voulait l'avoir partout, et cela n'était pas difficile, car le comte de Mainfredi savait se multiplier lorsqu'il s'agissait des plaisirs.

La marquise de Dorilla, recommandable