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MARCELINE DESBORDES-VALMORE

chose sur sa jeunesse. Il fut le condisciple de M. de Lourdoueix au collège de Pontlevoy événement considérable évidemment, puisque c’est le seul que ses biographes aient jugé intéressant de rapporter. D’ailleurs, il n’apprit pas grand chose à Pontlevoy, et, quand on l’eut envoyé à Paris pour faire son droit, il s’y occupa surtout à écrire des vers, à quoi l’on reconnut immédiatement que sa vocation était d’être fonctionnaire.

Ses oncles, Thabaud, administrateur de la Loterie, et le sénateur Porcher de Richebourg le firent entrer au Ministère des Finances (1), sous les ordres de Français (de guer de son aîné, selon l’usage constant – Sur H. do Lalonche, voir P. F. [Pauline de Flaugergues) H. de LiLonche (S. 1., s. d., 15 pages in-8°). — Chauces-Aigues, Les Ecrivains modernes de la France (Paris, 1841, in-12). E. Perraud de Thoury, Nolice bibliographique sur M. II. de lalouche (Extrait du Panthéon universel, Paris, 1858, 8 pages in-8°). —-Sainte-Beuve, Cruseries du Lundi, III, pages 474-502. — G. Sand, dans le siècle des 18, 19, 20 juillet 1851. G. Sand, Histoire de ma vie, t. IV, pages 121-152, Notice par Cl. de Conberousse en tête de Clément XIV ct Carlo Bertinacsi, correspondance inédile par II. de Latouche (Paris, Lévy, 1867, in-12), etc

(1) Je n’ai pu retrouver aucune trace aux Archives Nationales du passage de Latouche dans l’administration ; quelques dates nous auraient élé fort uliles. Le