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LE PLUS RARE VOLCELEST DU MONDE




À Jacques Boulenger.


Quiconque n’a pas assisté à l’entrée chez Durand, par un beau soir, d’un lord capitaine des chasses du roi, ignore une précieuse émotion.

Je dînais moi-même en ce restaurant, traité par mon camarade Jacques Fouvier, et dans une compagnie qui me faisait beaucoup d’honneur. Car les deux convives avec lesquels Jacques avait daigné me prier, n’étaient autres, en effet, que M. Charles Hirec, de l’Institut, et l’éminent Noël Marion, directeur des fouilles d’Ouëd Saâli.