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IV
À deux mois de là, le capitaine Blondel s’entretenait fort vivement avec le lieutenant Torigny-Vincent au sujet des soldats d’Oinèche et de Lorizon, dont les excès scandalisaient la ville. M. Blondel, tout récemment promu capitaine, était dans le feu d’un nouveau zèle. Quant à Torigny-Vincent, il tolérait mal qu’Adeline Demain troublât l’ordre établi en visitant deux blanc-becs, plutôt qu’un lieutenant, par exemple.
« — Et d’abord, faisait le capitaine, qui vient-elle voir, cette femme, Lorizon