Page:Bouhélier - L’Hiver en méditation, 1896.djvu/241

Cette page n’a pas encore été corrigée

qu’elle coure à la source prochaine dont l’opaque flot glauque se casse sur les rocs, encaissée, entre uue double berge sur laquelle frémissent, poudroient et scintillent les lumières verdâtres des ormeaux.

— O ma blanche amie, dès demain, j’abandonne cette discrète retraite car l’action demeure grave et pompeusement sublime I Mêlons-nous à la fête des héros qui travaillent.