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reste on dit qu’il faisait assez de bien dans le canton, mais de fort mauvaise grâce apparemment, car personne ne lui en a su le moindre gré ; le fait, c’est que la terre ne lui appartenait pas (notez qu’elle avait été six cents ans dans ma famille) ; ainsi quand il en a employé, dans un tems de disette, tout le revenu en bonnes œuvres, il n’y a rien mis du sien. — C’est une chose bien étrange, disais-je au nouveau maître, que ce mêlange de charité et de rapine ! Comment, la terre ne lui apparte-