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pendre pendant une heure, pour me donner le tems de changer d’habit et de prendre un peu de nourriture. Pensez que vous êtes chez vous, me disait-il à plusieurs reprises. J’ai voyagé, et tous les voyageurs sont pour moi des compagnons ; j’ai reçu l’hospitalité ; j’aime à la rendre, et je souhaite sur-tout que la maison vous plaise.

Il me laisse et retourne aux soins de son théâtre ; une heure après, il revient avec la même grâce et me dit : si vous êtes un peu reposé vous