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tres morts, et remplacés par de meilleurs ; enfin, je rêvais la vie heureuse d’un homme riche et tranquille dans la plus belle possession de la province ; je croyais y être ; je me représentais tout cela avec des couleurs plus vives peut-être que celles de la réalité. — Comme il arrive quelquefois pour les châteaux en Espagne. — Après la dernière poste sur-tout, dans la plus grande obscurité de la nuit, livré sans distraction à mes seules pensées, je repaissais mon imagination de cette admi-