Page:Boufflers - L’Heureux Accident, 1808.djvu/175

Cette page a été validée par deux contributeurs.

où j’ai eu le plaisir de vous recevoir, est à vous ; il n’aurait fallu dans le tems qu’un mot de vous à moi pour qu’à l’instant elle changeât de maître ; reprenez-la ; ressouvenez-vous de celui que vous y avez honoré de votre visite, et permettez-lui de compter sur votre amitié. »

P. S. « Je suis en même tems instruit par ma sœur, de vos sentimens et des siens, je connais même l’objet de votre premier at-