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pouvoir vous assurer que si vous vous mariez aujourd’hui pour demain, je ne quitterais pas plus votre femme que mon ombre. Vous sentez-vous en aussi bonne disposition pour mon mari ? — Encore une fois, chère dame, l’épreuve est trop forte, et je serais tenté de répéter votre refrain favori : parlons d’autre chose. — Belle proposition pour une femme qui a le mariage en tête. — Eh bien, parlons-en donc, coûte qui coûte. Peut-on vous demander le nom du personnage ? Attendez,