Page:Boufflers - L’Heureux Accident, 1808.djvu/146

Cette page a été validée par deux contributeurs.

fixement, et la voyant un peu embarrassée : Ah ! mon amie, encore une de ces petites malices qu’on ne peut attendre que de votre bonté. On ne m’a jamais reproché d’être curieux ; mais tenez, ce paquet me tourne la tête ; est-il dans votre voiture ? — Non, je l’ai laissé chez moi, ou pour mieux dire chez vous, car c’est dans votre chambre, et j’espérais bien, ajoute-t-elle avec un peu de malice, que vous y reviendriez tôt ou tard. Il demande à en savoir le contenu. Elle s’excuse tou-