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est-ce que vous méditeriez une longue absence ? — Le pourrais-je ? — Encore une fois, pourquoi sitôt ? — J’ai du monde chez moi qui m’attend. — Si c’est un ami pourquoi ne pas me l’amener ? est-ce que ce n’est pas chez moi qu’il faut recevoir tous vos amis ? — Non, reprend M. Lambert qui ne savait que répondre, c’est une parente. — Est-elle jeune ? — Je ne sais pas bien son âge. — Ah ! sûrement elle est jeune ; car vous ne seriez pas si pressé. Mais indiscrète, ennuyeuse que je suis, je